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L’art de la reliure marocaine à l’honneur dans une exposition à la Bibliothèque nationale du Qatar
Mme Brigitte Macron a visité, mercredi soir, l'exposition "Rétrospective Mehdi Qotbi" qu'abrite l’Institut du monde arabe (IMA) à Paris.
L'exposition réunit une centaine d’œuvres réalisées depuis les années 60 - peintures, œuvres graphiques, tapisseries et céramiques - alors que l’artiste posait les bases de son style unique, jusqu’à aujourd’hui où sa vision continue d’élargir ses horizons artistiques.
Dans une déclaration à la MAP, Mme Macron a salué le talent de l'artiste marocain et s’est dite admirative de son œuvre "très hypnotique, capable de transporter le spectateur dans un univers unique".
A travers cette rétrospective, l'IMA vise à mettre en lumière l’univers du peintre pour former un espace de dialogue entre les cultures et les imaginaires. Influencé par les traditions marocaines et les courants d’art européens, Qotbi invente une "désécriture", un nouveau langage où fusionnent les lettres et les signes arabes.
L’exposition, dont le vernissage a eu lieu mardi soir, se poursuivra jusqu'au 5 janvier 2025 à l’IMA.
Pour la directrice du musée et des expositions de l’IMA, Nathalie Bondil, cette rétrospective offre au visiteur "l’occasion de plonger dans plus de cinquante ans de création de l'artiste Mehdi Qotbi et de comprendre toute la richesse de son parcours".
L'exposition réunit une centaine d’œuvres réalisées depuis les années 60 - peintures, œuvres graphiques, tapisseries et céramiques - alors que l’artiste posait les bases de son style unique, jusqu’à aujourd’hui où sa vision continue d’élargir ses horizons artistiques.
Dans une déclaration à la MAP, Mme Macron a salué le talent de l'artiste marocain et s’est dite admirative de son œuvre "très hypnotique, capable de transporter le spectateur dans un univers unique".
A travers cette rétrospective, l'IMA vise à mettre en lumière l’univers du peintre pour former un espace de dialogue entre les cultures et les imaginaires. Influencé par les traditions marocaines et les courants d’art européens, Qotbi invente une "désécriture", un nouveau langage où fusionnent les lettres et les signes arabes.
L’exposition, dont le vernissage a eu lieu mardi soir, se poursuivra jusqu'au 5 janvier 2025 à l’IMA.
Pour la directrice du musée et des expositions de l’IMA, Nathalie Bondil, cette rétrospective offre au visiteur "l’occasion de plonger dans plus de cinquante ans de création de l'artiste Mehdi Qotbi et de comprendre toute la richesse de son parcours".
Bouillon de culture
Musique
Les férus de la musique de transe ont été au rendez-vous, le week-end dernier, avec des soirées musicales envoûtantes, organisées dans le cadre de la 11ème édition du Moussem de l'art des Haddarates.
Initiée par l'Association "Al-Salam pour la Hadra gnaouia et le patrimoine local d'Essaouira" sous le thème "Le rôle des femmes dans la promotion du patrimoine local", cette manifestation culturelle vise à mettre en lumière l'authenticité de l'art de la "Hadra" (transe), une forme d'expression artistique profondément ancrée dans le patrimoine culturel de la Cité des Alizés.
Ainsi, le public a été gratifié de concerts variés, exécutés avec brio par des troupes féminines locales et régionales, mettant en relief l’importance du rôle des femmes dans la transmission et la préservation de cet héritage culturel.
Rencontre
L’Institut français d’Essaouira a accueilli, récemment, un rassemblement d’écrivaines francophones dans le cadre de la "Caravane des écrivaines", qui a fait escale dans la Cité des Alizés après avoir sillonné plusieurs villes du Royaume.
Cette rencontre a été l'occasion pour ces écrivaines, originaires de divers horizons, d'échanger autour de leurs œuvres et de partager leurs expériences respectives avec le public.
À travers leurs témoignages, elles ont invité les participants à une exploration profonde de leur démarche créative, révélant les multiples facettes de leur écriture.
Exposition
La galerie de l’Institut français d’Essaouira accueille, jusqu'au 29 novembre, une exposition didactique visant à sensibiliser le grand public aux enjeux complexes du changement climatique.
Intitulée "Le monde sans fin", cette exposition vulgarise avec clarté les causes et les conséquences des dérèglements climatiques actuels à l’échelle mondiale, tout en mettant en lumière les solutions possibles pour faire face à ce défi global.
À travers une approche pédagogique et accessible, l’exposition invite les visiteurs à mieux comprendre les interactions entre l’activité humaine, les écosystèmes et le climat, et à s'interroger sur les actions individuelles et collectives nécessaires pour atténuer l'impact environnemental.
Les férus de la musique de transe ont été au rendez-vous, le week-end dernier, avec des soirées musicales envoûtantes, organisées dans le cadre de la 11ème édition du Moussem de l'art des Haddarates.
Initiée par l'Association "Al-Salam pour la Hadra gnaouia et le patrimoine local d'Essaouira" sous le thème "Le rôle des femmes dans la promotion du patrimoine local", cette manifestation culturelle vise à mettre en lumière l'authenticité de l'art de la "Hadra" (transe), une forme d'expression artistique profondément ancrée dans le patrimoine culturel de la Cité des Alizés.
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À travers une approche pédagogique et accessible, l’exposition invite les visiteurs à mieux comprendre les interactions entre l’activité humaine, les écosystèmes et le climat, et à s'interroger sur les actions individuelles et collectives nécessaires pour atténuer l'impact environnemental.