Autres articles
-
La commission d'aide à la production des œuvres cinématographiques dévoile les projets admis à l'avance sur recettes au titre de la 1ère session de 2024
-
Fatima Nouali Azar, membre du jury de la compétition des courts métrages
-
Le film marocain "Coup de tampon" projeté à Cotonou
-
La Journée mondiale du théâtre célébrée en grande pompe à Marrakech
-
L’ICESCO appelle à renforcer l’intégration du “père de tous les arts” dans les programmes scolaires
A Annecy en Haute-Savoie, le Festival international du film d'animation s’est déroulé dans une ambiance chaleureuse. "Miraï, ma petite soeur", du réalisateur japonais Mamoru Hosoda a conquis le public. Une histoire presque autobiographique qui raconte le quotidien d'un petit garçon de 4 ans bousculé par l'arrivée d'une petite sœur. Le film sortira en salles en décembre 2018.
Le nouveau film de Mamoru Hosoda est directement inspiré par une anecdote familiale du réalisateur. Entre réalité et fantasmes, le film montre comment l'enfant parvient à retrouver sa place dans la famille. "A quatre ans les enfants ont des points de vue extrêmement pertinents, ils voient les choses avec une certaine fraîcheur et tout ce qu'ils voient ressemblent à une scène d'aventure", résume le cinéaste. Après "Les enfants loups", son grand succès de 2012, les critiques prédisent le même destin de "Miraï, ma petite sœur".
Mamoru Hosoda figure aujourd'hui parmi les plus grands réalisateurs d'animation au monde. Dans la lignée d'un Miyazaki, il traite avec finesse les thèmes qui le touchent : la famille, la transmission, le temps, les relations entre parents et enfants.
Les fans d'animation japonaise ne rateraient pour rien au monde une rencontre avec le maître. A Annecy, ils ont attendu près de trois heures pour obtenir une précieuse dédicace. "J'ai commencé à regarder ses films quand j'avais six ans, donc je suis très fan de ce qu'il fait et je suis hyper émue d'avoir pu le rencontrer", confie une spectatrice.
Le nouveau film de Mamoru Hosoda est directement inspiré par une anecdote familiale du réalisateur. Entre réalité et fantasmes, le film montre comment l'enfant parvient à retrouver sa place dans la famille. "A quatre ans les enfants ont des points de vue extrêmement pertinents, ils voient les choses avec une certaine fraîcheur et tout ce qu'ils voient ressemblent à une scène d'aventure", résume le cinéaste. Après "Les enfants loups", son grand succès de 2012, les critiques prédisent le même destin de "Miraï, ma petite sœur".
Mamoru Hosoda figure aujourd'hui parmi les plus grands réalisateurs d'animation au monde. Dans la lignée d'un Miyazaki, il traite avec finesse les thèmes qui le touchent : la famille, la transmission, le temps, les relations entre parents et enfants.
Les fans d'animation japonaise ne rateraient pour rien au monde une rencontre avec le maître. A Annecy, ils ont attendu près de trois heures pour obtenir une précieuse dédicace. "J'ai commencé à regarder ses films quand j'avais six ans, donc je suis très fan de ce qu'il fait et je suis hyper émue d'avoir pu le rencontrer", confie une spectatrice.