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Selon un communiqué du syndicat affilié à la CDT, les protestataires n’ont perçu aucun sou depuis trois mois et demi sachant que leur salaire dérisoire ne dépasse guère mille dirhams. C’est une flagrante violation du Code du travail et un non-respect du cahier des charges du marché qui prévoit le SMIG, la déclaration des femmes de ménage auprès de la CNSS et le versement de leurs salaires à la fin de chaque mois.
Le communiqué a appelé la société à honorer ses engagements tout en demandant l’intervention de l’administration délégante en vue de garantir le respect du cahier des charges. L’intervention du gouverneur et du ministère de l’Emploi a été encore une fois sollicitée par le syndicat en vue de satisfaire les revendications légitimes des femmes de ménage.