
-
La pluralité culturelle, vecteur de paix et d’avenir partagé
-
La Maison de la poésie de Tétouan lance sa nouvelle saison culturelle
-
A Lyon, la culture marocaine millénaire s'invite dans la plus grande esplanade d’Europe
-
Les causes nationales dans la poésie du Malhoun au centre d'une conférence dans le cadre du Festival "Malhouniyat"
Précédé par le DJ Justin Mylo, qui a ouvert le concert avec notamment sa chanson "Cheap Motel" et un remix du célèbre tube "Closer" du duo The Chainsmokers, Martin Garrix a ensuite sublimé de ses doigts les platines, les métamorphosant en un outil d’une création musicale envoûtante dans un spectacle mêlant musique électronique, jeux de lumières et effets pyrotechniques.
Virtuose incontesté de l’Electro dance music (EDM), le jeune DJ a fait vibrer la capitale avec un set d’environ 90 minutes, comprenant entre autres son titre "Turn up the speakers" produit en collaboration avec le DJ Afrojack, "Virus (How about now)" produit avec le DJ MOTi et sa célèbre chanson "Lions in the wild", fruit d'une collaboration avec le duo Third party.
C’est dans une symbiose parfaite, presque intime, que Martin Garrix et le public ont chanté le tube "Waiting for love", en hommage au DJ Avicii mort en avril dernier. Un adieu à celui qui était un des DJ les plus importants de la scène électronique.
Le Néerlandais a également fait le bonheur de son public avec son tube référence "Animals", devenu un succès planétaire, ainsi qu'avec ses titres "Pizza", "In the name of love" et "Ocean", avant d'intensifier le tempo grâce à ses mix de tubes à grand succès tels "Can’t feel my face" de The Weeknd ou encore "How deep is your love" de Calvin Harris et le trio Disciples.
Ce qui est certain, c’est qu’après le passage de Martin Garrix, la scène OLM Souissi au même titre que Rabat changeront de configuration dans l’imaginaire des festivaliers.