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Le 8 février, le président de droite colombien a annoncé la création d'une force d'élite pour combattre les guérilleros dissidents des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) et ceux de l'Armée de libération nationale (ELN), ainsi que les narco-trafiquants qui, selon le gouvernement, ont trouvé refuge au Venezuela voisin. "L'objectif pour cette année est de frapper les têtes du narcoterrorisme", a-t-il déclaré, affirmant que "beaucoup d'entre eux sont protégés au Venezuela". "Si Ivan Duque ose toucher un millimètre du territoire vénézuélien... Ne sois pas fou, Ivan Duque ! Connais tes limites et respecte le Venezuela", a déclaré Nicolas Maduro, dont le gouvernement autoritaire n'est pas reconnu par la Colombie qui a rompu ses liens diplomatiques. Malgré l'accord de paix de 2016, la Colombie continue de faire face à un conflit armé aux multiples facettes, impliquant des guérillas de gauche, des trafiquants de drogue et des paramilitaires de droite qui se disputent le contrôle des lucratives productions de la cocaïne et de l'extraction illégale de minerais. La Colombie a accusé à plusieurs reprises par le passé le Venezuela d'offrir un refuge aux groupes armés, ce que Caracas nie.











