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Les émissions littéraires ne sont pas censées inviter uniquement les écrivains les plus célèbres pour garantir suivi et respect. L’épisode de l’émission littéraire Macharif du 2 décembre en a donné l’exemple et aura finalement été exceptionnel. Bien de « petites critiques » portent sur le choix des invités dans différentes émissions, la palette de ceux du tandem Yassin/Najem, tellement multiple et plurielle reste dans les normes, puisqu’elle varie entre genres littéraires et qualités d’invités.
En effet, l’animateur Yassine Adnan a offert un espace de choix à une invitée jusque-là inconnue. Ceux qui s’attendaient aux écrivains de renom auront donc raté une occasion en or de découvrir une écrivaine d’une trempe rare, Bahija Kouimi, qui n’emprunte pas les sentiers battus. Son thème fétiche n’est autre que le cancer, « sa » maladie qu’elle accepte et vit avec. Le poète l’a bien qualifié de « souffrances pour la vie ». L’auteur de « Des maux pour vivre » a, en effet, estimé que l’écriture reste une issue capitale pour lutter contre la maladie, mais aussi pour répandre une volonté à même de contrer tous sentiments de défaite, de reddition ou d’amertume et partant de déception.
Cette belle inconnue a fait montre d’un savoir thérapeutique volontaire digne à partager avec tous les malades, mais aussi avec tous les téléspectateurs. Un savoir qui vaut actuellement de l’or dans les pays occidentaux. Il s’agit de cette écriture qui combat le désespoir et qui ouvre grandes les voies pour l’amour de la vie. L’on se rappelle cette femme qui a pris la parole dans la salle des conférences à Marrakech lors d’une des premières éditions du Festival international du film pour remercier, beau sourire tracé sur un visage radieux, l’écrivain de renom, Paulo Coelho, pour lui avoir sauvé la vie. Au bout de son désespoir et sur le point de mettre fin à sa vie, cette femme avait lu un « Alchimiste » salvateur. Les conseils prodigués par Bahija Kouimi lors de cette émission vont dans ce sens et offrent une thérapie rare. Pour ceux qui ne croient pas encore que l’écriture est une cure d’abord, lisez « Des maux pour vivre ».
En effet, l’animateur Yassine Adnan a offert un espace de choix à une invitée jusque-là inconnue. Ceux qui s’attendaient aux écrivains de renom auront donc raté une occasion en or de découvrir une écrivaine d’une trempe rare, Bahija Kouimi, qui n’emprunte pas les sentiers battus. Son thème fétiche n’est autre que le cancer, « sa » maladie qu’elle accepte et vit avec. Le poète l’a bien qualifié de « souffrances pour la vie ». L’auteur de « Des maux pour vivre » a, en effet, estimé que l’écriture reste une issue capitale pour lutter contre la maladie, mais aussi pour répandre une volonté à même de contrer tous sentiments de défaite, de reddition ou d’amertume et partant de déception.
Cette belle inconnue a fait montre d’un savoir thérapeutique volontaire digne à partager avec tous les malades, mais aussi avec tous les téléspectateurs. Un savoir qui vaut actuellement de l’or dans les pays occidentaux. Il s’agit de cette écriture qui combat le désespoir et qui ouvre grandes les voies pour l’amour de la vie. L’on se rappelle cette femme qui a pris la parole dans la salle des conférences à Marrakech lors d’une des premières éditions du Festival international du film pour remercier, beau sourire tracé sur un visage radieux, l’écrivain de renom, Paulo Coelho, pour lui avoir sauvé la vie. Au bout de son désespoir et sur le point de mettre fin à sa vie, cette femme avait lu un « Alchimiste » salvateur. Les conseils prodigués par Bahija Kouimi lors de cette émission vont dans ce sens et offrent une thérapie rare. Pour ceux qui ne croient pas encore que l’écriture est une cure d’abord, lisez « Des maux pour vivre ».