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Pour Abdellah Cheikh, chercheur et critique d’art, le langage pictural de Loubaba puise sa force et sa liberté dans les couleurs et le graphique. «Les toiles de Loubaba, dit-il, sont traversées par un imaginaire qui hante chacun de nous, des figures féminines déformées symbolisant des esprits brisés, et un mouvement inlassable de voyage qui défit toutes frontières pour se lancer dans une expression instinctive et libre».
Mohammed Chouika, écrivain et chercheur, s’est intéressé au travail artistique de Loubaba d’un angle psycho-social. Pour lui, «le pinceau de l’artiste peintre se lance à la conquête des inédits de l’esprit de chacun de nous, ses hantises, ses facettes sombres. Il les représente sous des formes brisées et défigurées et toujours axées sur la présence féminine, sujet d’un mouvement permanent traversant des univers distincts».
Pour Ayoub Akil, journaliste et écrivain, «l’univers unique de l’artiste peintre Loubaba Laalej, tantôt poétique, tantôt teinté de magie, ne vous laissera pas de marbre. Sa peinture se situe au cœur de l’hyperréalisme fantastique. Elle s’inscrit dans la longue lignée des peintres qui, depuis le Moyen Age, nous ouvrent les portes des mondes improbables».
Ahmed Harrouz, artiste peintre, s’est, quant à lui, félicité de l’activité qui célèbre l’art et les artistes. Un carrefour qui rend à la culture son statut légitime au sein de la société.
Essaouira, d’après Loubaba, est un carrefour des cultures et des civilisations, ville historique des marins et des pêcheurs. C’est la ville des artistes par excellence. Cette ville cosmopolite est symbolisée par le faucon d’Eléonore qui a migré de son île pour nous rappeler que les frontières sont une notion humaine.