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L’artiste a enchaîné avec “Wali” aux sons des percussions africaines, et déchaîné le public de la salle Ahmed-Bey en lui transmettant une bonne dose d’ondes positives auxquelles il a répondu par des applaudissements. A l’aise sur scène, Oum qui souhaite que le festival Dimajazz lui “ouvre les portes” pour se produire dans d’autres villes d’Algérie, a entonné encore deux autres tubes de son album précédent “Soul of Morocco”, dans un tempo intense et enivrant, enveloppé dans des sonorités africaines, soul et jazz raffinées. Après le spectacle, Oum, de son vrai nom Oum El Gheit, émue par l’accueil du public, a défini sa musique comme une “musique marocaine, maghrébine et contemporaine, sans limite de genre”.
Avide de sons africains dans toutes leur diversité, la chanteuse qui a rappelé que la musique des peuples africains a été influencée par différents courants, a souligné que cette richesse des sonorités “doit être perpétuée et transmise”. Elle a, par ailleurs, précisé que la composition de sa troupe où l’on trouve des musiciens venus de divers horizons, du Maroc, de Cuba et d’Autriche, “traduit l’ouverture et l’échange qui enrichissent la musique”.
Oum qui se revendique de l’Afrique jusque dans sa façon de s’habiller affirme qu’il “existe un peu d’Afrique dans tous les continents”. Elle a précisé que son dernier album “Zarabi” n’a pas été enregistré en studio, mais en plein air, au Sud du Maroc, pour “mieux transmettre les sons africains”. Dans un menu métissé et richement coloré, la 13ème édition du Festival international Dimajazz se poursuivra jusqu’au 3 décembre courant. Alpha Blondy, China Moses, The Billy Cobham quintet, l’artiste palestinien Tamer Abu Ghazaleh, le groupe colombien Cumbia Ya et l’ensemble britannique Incognito sont à l’affiche de cette manifestation placée, cette année, sous le signe de “Constantine, capitale 2015 de la culture arabe”.
 
					  
					  
					  
					  




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