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Pour le conférencier, cette situation est due à plusieurs facteurs dont la faiblesse des ressources réservées par les gouvernements au secteur de l'enseignement et de la recherche scientifique, l'absence d'une politique de mise à niveau des universités arabes et le désintérêt du secteur privé pour le financement de la recherche.
Il a, en outre, relevé qu'il existe une quarantaine de classification des universités, soulignant que certains de ces classifications sont devenues un des moyens d'évaluation de la qualité des universités pour l'enseignement ou la recherche.
Le professeur Sadiki a également émis des critiques quant à certaines de ces classifications, relevant, notamment, qu'elles ne reflètent pas la richesse scientifique de la civilisation arabe et accordent peu d'intérêt aux universités non-anglophones.
Cette conférence a été suivie par de nombreuses personnalités du monde académique, des médias et de la diplomatie dont l'ambassadeur du Maroc à Abu Dhabi, Mohamed Ait Ouali.