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Les montres connectées ne vont pas cannibaliser l'horlogerie suisse, a affirmé jeudi le patron de Swatch Group, bien qu'elles enregistrent une croissance spectaculaire qui tranche avec le repli du secteur en Suisse.
Si le chiffre d'affaires de Swatch Group s'est tassé l'an passé, le nombre de pièces écoulées s'est lui inscrit en croissance, a cité à l'appui Nick Hayek, le directeur général du numéro un mondial de l'horlogerie.
"Il n'y a pas de cannibalisation", a-t-il déclaré aux journalistes lors d'une conférence annuelle de bilan qui se tenait à Bienne, le centre névralgique du secteur horloger en Suisse.
"Aux États-Unis, beaucoup de gens ne portent plus de montres. Ici c'est une porte qui s'ouvre pour nous", a-t-il ajouté.
Selon une étude du cabinet américain Strategy Analytics, les livraisons de montres connectées se sont élevées à 8,1 millions de pièces au quatrième trimestre, augmentant de 316% sur un an alors que les livraisons de montres suisses ont elles reculé de 5% à 7,9 millions d'unités.
Apple, le géant californien de la technologie s'est taillé la part du lion, avec une part de marché estimée à 63%, suivi par le coréen Samsung, qui en contrôle de son côté quelque 16%, les deux groupes écoulant à eux deux quelque 8 montres connectées sur 10.
Apple a par le passé révolutionné le marché de la musique, puis celui de la téléphonie, détrônant au passage Nokia, le géant du secteur à l'époque, ce qui a alimenté les craintes que sa montre connectée, lancée l'an passé, ne viennent faire de l'ombre aux montres suisses.
"Nous ne nous mesurons pas contre Apple. C'est une société d'électronique de consommation", a défendu Nick Hayek, insistant sur le fait que Swatch Group se positionnait sur un créneau différent.
L'horlogerie suisse s'attache au contraire à proposer de belles montres, qui se posent comme le seul véritable bijou que porte les hommes, dans lequel sont rajoutés des fonctionnalités électroniques.
Swatch s'est lui-même lancé dans la course aux montres connectées avec un modèle appelé Bellamy, équipé d'une fonction de paiement sans contact.
Si le chiffre d'affaires de Swatch Group s'est tassé l'an passé, le nombre de pièces écoulées s'est lui inscrit en croissance, a cité à l'appui Nick Hayek, le directeur général du numéro un mondial de l'horlogerie.
"Il n'y a pas de cannibalisation", a-t-il déclaré aux journalistes lors d'une conférence annuelle de bilan qui se tenait à Bienne, le centre névralgique du secteur horloger en Suisse.
"Aux États-Unis, beaucoup de gens ne portent plus de montres. Ici c'est une porte qui s'ouvre pour nous", a-t-il ajouté.
Selon une étude du cabinet américain Strategy Analytics, les livraisons de montres connectées se sont élevées à 8,1 millions de pièces au quatrième trimestre, augmentant de 316% sur un an alors que les livraisons de montres suisses ont elles reculé de 5% à 7,9 millions d'unités.
Apple, le géant californien de la technologie s'est taillé la part du lion, avec une part de marché estimée à 63%, suivi par le coréen Samsung, qui en contrôle de son côté quelque 16%, les deux groupes écoulant à eux deux quelque 8 montres connectées sur 10.
Apple a par le passé révolutionné le marché de la musique, puis celui de la téléphonie, détrônant au passage Nokia, le géant du secteur à l'époque, ce qui a alimenté les craintes que sa montre connectée, lancée l'an passé, ne viennent faire de l'ombre aux montres suisses.
"Nous ne nous mesurons pas contre Apple. C'est une société d'électronique de consommation", a défendu Nick Hayek, insistant sur le fait que Swatch Group se positionnait sur un créneau différent.
L'horlogerie suisse s'attache au contraire à proposer de belles montres, qui se posent comme le seul véritable bijou que porte les hommes, dans lequel sont rajoutés des fonctionnalités électroniques.
Swatch s'est lui-même lancé dans la course aux montres connectées avec un modèle appelé Bellamy, équipé d'une fonction de paiement sans contact.