Autres articles
-
La pratique du sport à l'enfance réduit les comportements défiants
-
Quelle est la durée de vie d'une puce IA, la question à plusieurs centaines de milliards
-
Entre 121 et 142 millions de personnes travaillent dans l'économie circulaire à l’échelle mondiale
-
Une influente étude sur le glyphosate retirée après des années d'alertes sur l'implication de Monsanto
-
A trois ans, un Indien devient le plus jeune joueur d'échecs classé
Et s'il était temps pour les jardiniers de repenser leur rapport aux limaces et escargots ? Un nouveau guide publié au Royaume-Uni incite à voir dans ces gastéropodes voraces et baveux des amis, dans une approche plus écologique.
Selon la Société d'horticulture royale (RHS) et les Wildlife Trusts, il en existe 150 sortes au Royaume-Uni, profitant avantageusement du climat humide.
Si limaces et escargots sont friands de jeunes pousses et de certaines plantes, ils ont aussi un rôle de nettoyeurs, car nombre d'espèces se nourrissent de végétaux pourris, de champignons, d'excréments, et même de charognes, contribuant ainsi à recycler azote et autres nutriments et minéraux dans le sol.
Ils peuvent aussi jouer les nettoyeurs en dévorant les algues qui poussent sur les vitres des serres, avec un inconvénient: ils laissent des traces...
Les gastéropodes constituent aussi un met très apprécié des grenouilles, grives et scarabées, et font partie du menu des hérissons.
"En soutenant ces mollusques, les jardiniers soutiennent indirectement une faune très diverse", estiment Wildlife Trusts et RHS, qui soulignent que certaines sortes de limaces très territoriales, comme les léopards, peuvent repousser d'autres espèces.
Les deux organismes encouragent ainsi les jardiniers à créer des abris (tas de bois, paillis), à opter pour des plantes peu appréciées des gastéropodes (lavande, romarin, géraniums) et protéger celles qui le sont en érigeant des barrières.
Il est également recommandé de déplacer limaces et escargots vers des plantes qu'ils apprécient moins, et de mener des patrouilles tardives, torche à la main, pour les débusquer car c'est à la nuit tombée qu'ils sont le plus actifs
"Si un petit nombre de limaces et escargots peuvent causer des dégâts à certaines plantes, globalement, ils peuvent apporter de nombreux avantages au jardin et contribuer à un écosystème équilibré", a déclaré Helen Bostock, spécialiste de la faune à la RHS. Et d’ajouter : "Nous espérons qu'en soulignant le travail essentiel que font les mollusques dans nos jardins, on peut contribuer à un changement de réputation bien mérité."
Selon la Société d'horticulture royale (RHS) et les Wildlife Trusts, il en existe 150 sortes au Royaume-Uni, profitant avantageusement du climat humide.
Si limaces et escargots sont friands de jeunes pousses et de certaines plantes, ils ont aussi un rôle de nettoyeurs, car nombre d'espèces se nourrissent de végétaux pourris, de champignons, d'excréments, et même de charognes, contribuant ainsi à recycler azote et autres nutriments et minéraux dans le sol.
Ils peuvent aussi jouer les nettoyeurs en dévorant les algues qui poussent sur les vitres des serres, avec un inconvénient: ils laissent des traces...
Les gastéropodes constituent aussi un met très apprécié des grenouilles, grives et scarabées, et font partie du menu des hérissons.
"En soutenant ces mollusques, les jardiniers soutiennent indirectement une faune très diverse", estiment Wildlife Trusts et RHS, qui soulignent que certaines sortes de limaces très territoriales, comme les léopards, peuvent repousser d'autres espèces.
Les deux organismes encouragent ainsi les jardiniers à créer des abris (tas de bois, paillis), à opter pour des plantes peu appréciées des gastéropodes (lavande, romarin, géraniums) et protéger celles qui le sont en érigeant des barrières.
Il est également recommandé de déplacer limaces et escargots vers des plantes qu'ils apprécient moins, et de mener des patrouilles tardives, torche à la main, pour les débusquer car c'est à la nuit tombée qu'ils sont le plus actifs
"Si un petit nombre de limaces et escargots peuvent causer des dégâts à certaines plantes, globalement, ils peuvent apporter de nombreux avantages au jardin et contribuer à un écosystème équilibré", a déclaré Helen Bostock, spécialiste de la faune à la RHS. Et d’ajouter : "Nous espérons qu'en soulignant le travail essentiel que font les mollusques dans nos jardins, on peut contribuer à un changement de réputation bien mérité."









La pratique du sport à l'enfance réduit les comportements défiants
