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Avec son architecture moderne et imposante et son bâtiment contemporain à l'allure blanche ainsi que la modernité de ses installations, la salle de cinéma Sahara à Agadir a accueilli mercredi soir un cycle spécial Mohcine Besri.
Tenu dans le cadre de la rubrique "Panorama", le cycle fait partie des activités de la 18ème édition du Festival international Cinéma et migrations mettant à l'honneur la production cinématographique nationale.
A travers le long-métrage "Les mécréants", le réalisateur Mohcine Besri met en place chez le spectateur une fabrique de sens, le laissant développer un attachement ou au contraire une répulsion pour les personnages du film. "Les mécréants" est le titre du film sorti en 2011 qui raconte l'histoire de trois jeunes intégristes ayant kidnappé un groupe de comédiens, s'en est suivi un isolement de sept jours durant lesquels ils sont tous amenés à se découvrir et à se confronter.
Le film "Laaziza", réalisé en 2018, traite d'une certaine souffrance féminine à travers le vécu et les péripéties d'une femme répudiée par son mari alors qu’elle est enceinte de sept mois, et qui va trouver refuge chez son frère aîné. La force psychologique qui se dégage de ces œuvres a fait que le public s'est synchronisé avec les états d'âme des acteurs, vacillant, selon les séquences, entre le rire et l'émotion.
Né à Meknès en 1971 et après des études de physique-chimie et quelques petits rôles dans différents films, Mohcine Besri part en Suisse suivre des études en informatique. Il travaille dans la finance avant de devenir enseignant de mathématiques et en parallèle, retrouve le cinéma, mais cette fois pour raconter des histoires. Après quelques expériences dans l’assistanat, Mohcine Besri tourne deux courts-métrages avant de réaliser son premier long-métrage "Les mécréants".
Tenu dans le cadre de la rubrique "Panorama", le cycle fait partie des activités de la 18ème édition du Festival international Cinéma et migrations mettant à l'honneur la production cinématographique nationale.
A travers le long-métrage "Les mécréants", le réalisateur Mohcine Besri met en place chez le spectateur une fabrique de sens, le laissant développer un attachement ou au contraire une répulsion pour les personnages du film. "Les mécréants" est le titre du film sorti en 2011 qui raconte l'histoire de trois jeunes intégristes ayant kidnappé un groupe de comédiens, s'en est suivi un isolement de sept jours durant lesquels ils sont tous amenés à se découvrir et à se confronter.
Le film "Laaziza", réalisé en 2018, traite d'une certaine souffrance féminine à travers le vécu et les péripéties d'une femme répudiée par son mari alors qu’elle est enceinte de sept mois, et qui va trouver refuge chez son frère aîné. La force psychologique qui se dégage de ces œuvres a fait que le public s'est synchronisé avec les états d'âme des acteurs, vacillant, selon les séquences, entre le rire et l'émotion.
Né à Meknès en 1971 et après des études de physique-chimie et quelques petits rôles dans différents films, Mohcine Besri part en Suisse suivre des études en informatique. Il travaille dans la finance avant de devenir enseignant de mathématiques et en parallèle, retrouve le cinéma, mais cette fois pour raconter des histoires. Après quelques expériences dans l’assistanat, Mohcine Besri tourne deux courts-métrages avant de réaliser son premier long-métrage "Les mécréants".