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La semaine dernière, le jeune élève Akasbi, a été agressé par deux inconnus qui l'ont surpris dans le quartier Tafoukt. Ils l’ont poignardé dans le dos avant de le détrousser. Se débattant pour se libérer de l’emprise de ses agresseurs, il avait reçu un coup de couteau à la main droite. Heureusement qu'il a profité du passage d'une voiture pour prendre la fuite. D'après l'oncle de la victime, son neveu qui est sorti de l'agression avec un nerf coupé et une plaie dans le dos, a été la troisième personne agressée à visiter le service des urgences à l'Hôpital Sidi Mohammed Ben Abdellah le même jour, tandis que les agresseurs courent toujours.
Quelques jours après, devant la mosquée avoisinant le siège de la province d'Essaouira, deux voleurs se sont emparés de la recette de deux taxis dont les chauffeurs accomplissaient la prière. Ils avaient tranquillement forcé les portières des taxis sans crainte d'être appréhendés par les forces de l'ordre.
Deux semaines avant, nous avons été contacté par un citoyen traumatisé par les événements sanglants d'une longue nuit de violence, d'alcool et d'échange de coups entre des jeunes drogués qui ont semé la pagaille dans les escaliers d'un bâtiment inhabité au lotissement Al Amal. " Je n'ai pas pu dormir la nuit, une bande de jeunes ivres et drogués n'ont cessé d'échanger de coups de couteaux en brisant des bouteilles de vin et en vociférant. Lorsque je me suis réveillé le matin, les murs et les escaliers du bâtiment étaient tachés de sang et même dans la rue. On ne peut plus circuler la nuit en paix dans ce quartier qui était l'un des plus tranquilles", nous a raconté ce citoyen traumatisé, photos à l'appui.
Le linge des familles aussi n'est pas à l'abri d’actes de pillage, à tel point qu'il est devenu sujet d'anecdotes dans le milieu des femmes au foyer. On raconte même l'histoire de ce voleur qui a pris l'habitude de pénétrer dans l'une des maisons du lotissement, de manger à sa faim, de changer ses vêtements et de repartir tranquille!