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Voilà un flic qui n’est pas comme les autres. Il tenait, coûte que coûte, à devenir célèbre. Il filmait beaucoup de ses interventions, diffusait sur les réseaux sociaux des photos de lui en champion d’arts martiaux et se permettait de commenter certaines situations, même les plus surprenantes ! Hicham Mellouli qui exerçait à Fès, était devenu en peu de temps une star bien suivie sur le maquis virtuel. La presse réservait de plus en plus une bonne place pour ses interventions jugées "héroïques". Ses méthodes et son discours l’avaient distingué de ses collègues. On l’accusait de recourir souvent à des pratiques violentes.
Cela ne devait pas plaire, bien évidemment, à ses supérieurs. Les avertissements, les conseils, les blâmes s’enchaînaient à la pelle. Le jeune Hicham n’en faisait qu’à sa tête. Et les plaintes contre le «Starsky» marocain, comme il était souvent surnommé, allaient bon train. La justice devait intervenir un jour. Et finalement, l’heure est venue pour que Hicham s’en rende compte qu’il s’agissait d’un métier bien réglementé. En effet, en début de semaine, et plus précisément lundi 29 janvier, la Chambre pénale de première instance près la Cour d’appel à Rabat a prononcé une peine d’un an de prison ferme et d’une autre année avec sursis à l’encontre d’un ex-policier pour «coups, blessures et tentative de viol».
A cause des soupçons qu’il avait éveillés, le super flic a été suspendu de ses fonctions, pour y faire face. La Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) l’avait ainsi déféré, le 6 octobre 2017, devant le parquet près la même Cour, pour tentative de viol avec violence, séquestration, détention d’images et vidéos à caractère pornographique et coups et blessures sur autrui.
L’histoire remonte à quelques semaines, lorsque deux filles se sont confiées à des organes de presse, accusant l’inculpé de les avoir séquestrées et attenté à leur pudeur. La Direction générale de la sûreté nationale a pris au sérieux ces informations. Une enquête s’est donc enclenchée sous la supervision du parquet afin d’élucider les tenants et les aboutissants de cette affaire qui avait préoccupé les internautes. Ces derniers s’étaient divisés en deux camps. Le premier défendait les méthodes de H-M qui, selon lui, «faisait son travail tout simplement et que certains milieux profitant de la criminalité l’avaient piégé», tandis que le second appelait à appliquer la loi. La justice a dit son dernier mot en le condamnant.
Cela ne devait pas plaire, bien évidemment, à ses supérieurs. Les avertissements, les conseils, les blâmes s’enchaînaient à la pelle. Le jeune Hicham n’en faisait qu’à sa tête. Et les plaintes contre le «Starsky» marocain, comme il était souvent surnommé, allaient bon train. La justice devait intervenir un jour. Et finalement, l’heure est venue pour que Hicham s’en rende compte qu’il s’agissait d’un métier bien réglementé. En effet, en début de semaine, et plus précisément lundi 29 janvier, la Chambre pénale de première instance près la Cour d’appel à Rabat a prononcé une peine d’un an de prison ferme et d’une autre année avec sursis à l’encontre d’un ex-policier pour «coups, blessures et tentative de viol».
A cause des soupçons qu’il avait éveillés, le super flic a été suspendu de ses fonctions, pour y faire face. La Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) l’avait ainsi déféré, le 6 octobre 2017, devant le parquet près la même Cour, pour tentative de viol avec violence, séquestration, détention d’images et vidéos à caractère pornographique et coups et blessures sur autrui.
L’histoire remonte à quelques semaines, lorsque deux filles se sont confiées à des organes de presse, accusant l’inculpé de les avoir séquestrées et attenté à leur pudeur. La Direction générale de la sûreté nationale a pris au sérieux ces informations. Une enquête s’est donc enclenchée sous la supervision du parquet afin d’élucider les tenants et les aboutissants de cette affaire qui avait préoccupé les internautes. Ces derniers s’étaient divisés en deux camps. Le premier défendait les méthodes de H-M qui, selon lui, «faisait son travail tout simplement et que certains milieux profitant de la criminalité l’avaient piégé», tandis que le second appelait à appliquer la loi. La justice a dit son dernier mot en le condamnant.