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Ce roman “se révèle au fur et à mesure en faisant passer les lecteurs et les lectrices par toute une palette d’émotions, surprise, tendresse, colère et révolte”, lit-on encore dans le document. “Je quittais le msid pour l’école. J’y laissais ma tablette en bois, au verbe figé, pour une ardoise que je pouvais effacer à ma guise, parce que les mots n’y étaient pas sacrés, parce qu’on pouvait y écrire une phrase de son cru, puis une autre à sa place, une autre encore, et autant qu’on voulait, sans blasphémer le moins du monde”, écrit l’auteur dans un extrait. “L’infini consacré dont je provenais, celui de l’école coranique, se révélait, en fin de compte, un champ de connaissance fini, borné, sans horizon. Curieusement, je découvrais, avec l’erreur, l’infini. Je pouvais me tromper sans encourir de courroux”, assure l’écrivain, doublé d’un historien et d’un essayiste. M. Ennaji, professeur à l’université Mohammed V de Rabat, a publié une série d’ouvrages sur le pouvoir, le religieux et les rapports sociaux, qui font référence sur le plan international et qui ont été édités à Madrid, à Paris, à New York encore au Caire.