Autres articles
-
Quatre figures de la nouvelle génération du cinéma marocain aspirent à l'universalité
-
Le long métrage marocain "Triple A" primé au Festival international du film de Bruxelles à Dakar
-
Vers l’approfondissement de l’industrie cinématographique nationale
-
Festival international du film de Marrakech : Le film "Happy Holidays" du Palestinien Scandar Copti remporte l'Étoile d'Or de la 21ème édition
Le rôle pionnier du Maroc dans la promotion et le développement du cinéma africain a été salué, vendredi, dans le cadre de la 4-ème édition des Rencontres cinématographiques et numériques de Cotonou (ReCiCo), qui s’est tenue du 05 au 11 octobre et à laquelle le Royaume a participé en tant qu’invité d’honneur.
Des responsables béninois, qui intervenaient vendredi soir à la cérémonie de clôture de cette manifestation artistique, organisée en partenariat avec l'ambassade du Royaume au Bénin et le Centre cinématographique marocain (CCM), ont loué le rôle pionnier que joue le Royaume pour accompagner, promouvoir et développer le champ cinématographique du continent africain, indique la représentation diplomatique du Royaume à Cotonou, dans un communiqué parvenu samedi à la MAP.
Ils ont, dans ce sens, mis en avant le soutien du Maroc aux acteurs cinématographiques africains à travers notamment la formation et l’échange d'expériences, soulignant l’importance des manifestations et des festivals artistiques et cinématographiques organisés par le Maroc dans la promotion de la diversité culturelle et artistique de l'Afrique.
La cérémonie de clôture, tenue en présence de personnalités politiques et diplomatiques, dont l'ambassadeur du Maroc au Bénin, Rachid Rguibi, ainsi que des acteurs de la scène culturelle et artistique béninoise et africaine, a été marquée par la remise du grand prix de cette édition dans la catégorie "Fictions longs métrages" au réalisateur marocain Moulay Taieb Bouhanana pour son long métrage "Sahari Slem Wesaa", a ajouté la même source, soulignant que le cinéma marocain a raflé également le troisième prix dans la catégorie "Documentaire", décerné à la réalisatrice Fatima Aglaz pour sa production "Dernière mine".
Une importante délégation cinématographique marocaine, composée de 8 réalisateurs et producteurs, a participé à cet événement, fait savoir le communiqué, notant que cette édition a été une occasion pour la délégation marocaine de mieux faire connaître le cinéma marocain et partager son expérience avec les pays africains frères.
Sur un total de 117 œuvres cinématographiques provenant de 21 pays africains et de la diaspora, neuf longs métrages, 26 courts métrages et 14 documentaires ont été choisis pour la Compétition officielle.
Cette édition a été marquée notamment par l'organisation d'ateliers de formation en scénario, actorat et direction de la cinématographie, ainsi qu'un colloque sous le thème: "Le cinéma, un outil de lutte contre l'extrémisme violent".
Des responsables béninois, qui intervenaient vendredi soir à la cérémonie de clôture de cette manifestation artistique, organisée en partenariat avec l'ambassade du Royaume au Bénin et le Centre cinématographique marocain (CCM), ont loué le rôle pionnier que joue le Royaume pour accompagner, promouvoir et développer le champ cinématographique du continent africain, indique la représentation diplomatique du Royaume à Cotonou, dans un communiqué parvenu samedi à la MAP.
Ils ont, dans ce sens, mis en avant le soutien du Maroc aux acteurs cinématographiques africains à travers notamment la formation et l’échange d'expériences, soulignant l’importance des manifestations et des festivals artistiques et cinématographiques organisés par le Maroc dans la promotion de la diversité culturelle et artistique de l'Afrique.
La cérémonie de clôture, tenue en présence de personnalités politiques et diplomatiques, dont l'ambassadeur du Maroc au Bénin, Rachid Rguibi, ainsi que des acteurs de la scène culturelle et artistique béninoise et africaine, a été marquée par la remise du grand prix de cette édition dans la catégorie "Fictions longs métrages" au réalisateur marocain Moulay Taieb Bouhanana pour son long métrage "Sahari Slem Wesaa", a ajouté la même source, soulignant que le cinéma marocain a raflé également le troisième prix dans la catégorie "Documentaire", décerné à la réalisatrice Fatima Aglaz pour sa production "Dernière mine".
Une importante délégation cinématographique marocaine, composée de 8 réalisateurs et producteurs, a participé à cet événement, fait savoir le communiqué, notant que cette édition a été une occasion pour la délégation marocaine de mieux faire connaître le cinéma marocain et partager son expérience avec les pays africains frères.
Sur un total de 117 œuvres cinématographiques provenant de 21 pays africains et de la diaspora, neuf longs métrages, 26 courts métrages et 14 documentaires ont été choisis pour la Compétition officielle.
Cette édition a été marquée notamment par l'organisation d'ateliers de formation en scénario, actorat et direction de la cinématographie, ainsi qu'un colloque sous le thème: "Le cinéma, un outil de lutte contre l'extrémisme violent".
Bouillon de culture
Patrimoine
Les participants à un colloque, organisé dimanche soir à Errachidia, ont jeté la lumière sur la richesse et la diversité du patrimoine culturel que recèle la région de Drâa-Tafilalet.
Initié par la Commission régionale des droits de l'Homme (CRDH) de Drâa-Tafilalet, ce colloqué, tenu en marge de la 7ème édition du Salon régional du livre, a été l’occasion de braquer les projecteurs sur les différentes facettes et les multiples spécificités du patrimoine culturel matériel et immatériel de la région qui comprend des espaces oasiens à forte valeur biologique, historique, économique ou encore spirituelle.
Lors de cette rencontre culturelle, modérée par le directeur exécutif de la CRDH de Drâa-Tafilalet, Ahmed El Khal, les intervenants ont mis l’accent sur l’importance de la préservation et de la valorisation du patrimoine culturel local dans un contexte mondial marqué par une globalisation galopante.
Dans ce sens, ils ont donné un aperçu sur l’arsenal juridique national visant à préserver le patrimoine culturel ainsi que sur les conventions internationales ratifiées par le Maroc dans le domaine de la protection et de la promotion du patrimoine culturel, tout en plaidant en faveur d'une meilleure coordination de toutes les parties prenantes dans le but de la préservation de cet héritage et de sa promotion afin de l'ériger en un catalyseur de développement durable.
Ils ont, par ailleurs, appelé à introduire les différents aspects du patrimoine culturel local dans les cursus d’enseignement et à répertorier et numériser le patrimoine oral afin d’en assurer le rayonnement et la durabilité auprès des générations montantes.
Les participants à un colloque, organisé dimanche soir à Errachidia, ont jeté la lumière sur la richesse et la diversité du patrimoine culturel que recèle la région de Drâa-Tafilalet.
Initié par la Commission régionale des droits de l'Homme (CRDH) de Drâa-Tafilalet, ce colloqué, tenu en marge de la 7ème édition du Salon régional du livre, a été l’occasion de braquer les projecteurs sur les différentes facettes et les multiples spécificités du patrimoine culturel matériel et immatériel de la région qui comprend des espaces oasiens à forte valeur biologique, historique, économique ou encore spirituelle.
Lors de cette rencontre culturelle, modérée par le directeur exécutif de la CRDH de Drâa-Tafilalet, Ahmed El Khal, les intervenants ont mis l’accent sur l’importance de la préservation et de la valorisation du patrimoine culturel local dans un contexte mondial marqué par une globalisation galopante.
Dans ce sens, ils ont donné un aperçu sur l’arsenal juridique national visant à préserver le patrimoine culturel ainsi que sur les conventions internationales ratifiées par le Maroc dans le domaine de la protection et de la promotion du patrimoine culturel, tout en plaidant en faveur d'une meilleure coordination de toutes les parties prenantes dans le but de la préservation de cet héritage et de sa promotion afin de l'ériger en un catalyseur de développement durable.
Ils ont, par ailleurs, appelé à introduire les différents aspects du patrimoine culturel local dans les cursus d’enseignement et à répertorier et numériser le patrimoine oral afin d’en assurer le rayonnement et la durabilité auprès des générations montantes.