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Dans le cadre du suivi régulier de l'approvisionnement, des prix et des opérations de contrôle des prix et de la qualité, la commission s'est enquis ce jeudi 09 avril de la situation de l'approvisionnement qui se caractérise par la disponibilité et la stabilité et que la situation de ravitaillement des marchés est normale en tous les produits de première nécessité, que ce soit les produits alimentaires, d'hygiène ou énergétiques", indique, dans un communiqué, le département des affaires générales et de la gouvernance relevant du ministère de l’Economie, des Finances et de la Réforme de l'administration.
"Concernant les légumes saisonniers, le ministère chargé de l'Agriculture veille au suivi de la plantation des surfaces en pommes de terre, oignons, tomates, carottes et courgettes", fait savoir la même source, ajoutant que la commission a relevé que les prix de la majorité des produits sont stables.
Pour ce qui des prix des fruits et légumes, ils ont poursuivi leur trend baissier cette semaine par rapport à la semaine précédente, souligne le communiqué, précisant que les prix ont diminué de 9% pour la tomate et l'oignon vert, de 6% pour la pomme de terre, de 4% pour la carotte, de 5% pour l'oignon sec et de 2% pour l'œuf. Il a été constaté également une stabilité des prix des viandes rouges et blanches, de même que pour les légumineuses, rapporte la MAP.
La commission interministérielle poursuivra la tenue régulière de ses réunions pour suivre l'évolution de la situation des marchés, le niveau de l'approvisionnement et des prix et le bilan des interventions des commissions de contrôle pour faire face à tout type de fraude, de monopolisation, de spéculation ou de manipulation des prix.
L'encours de la dette extérieure publique a atteint plus de 339,8 milliards de dirhams (MMDH) à fin 2019, soit 29,7% du produit intérieur brut (PIB), selon les données de la Direction du Trésor et des finances extérieures (DTFE).
Au terme de l'année 2019, l'encours de la dette extérieure du Trésor s’est établi à 161,5 MMDH et celui de la dette extérieure hors Trésor à 178,3 MMDH, relève la DTFE dans son bulletin trimestriel de la dette extérieure publique. La structure des créanciers est dominée par les multilatéraux (49,4%), suivis des bilatéraux (25,6%) et du Fonds monétaire international et des banques commerciales (25%).
Celle des emprunteurs est dominée par les établissements et entreprises publics et le Trésor avec des parts respectives de 51,5% et 47,5%, d'après la même source. Par devise, la dette extérieure publique a été dominée par l'euro (61,8%), alors que le dollar américain a représenté 27,1% et le yen japonais 3,5%, précise la DTFE, ajoutant que la part de la dette à taux d'intérêt fixe s'est élevée à 74,9% contre 25,1% à taux variable.
Durant l'année 2019, les ressources issues des emprunts extérieurs du secteur public ont porté sur un volume global de 39,4 MMDH, dont 25,5 MMDH mobilisés par le Trésor et 13,9 MMDH par les autres emprunteurs publics.
Le service de la dette extérieure publique, durant l'année 2019, s’est établi à 29,2 MMDH dont 12,1 MMDH ont été réglés par le Trésor et 17,1 MMDH par les autres emprunteurs publics.
1.057 infractions commerciales constatées
du 1er mars au 8 avril 2020
Les interventions des commissions mixtes provinciales et locales de contrôle, menées durant la période allant du 1er mars au 08 avril 2020, ont conduit à la constatation de 1.057 infractions en matière des prix et de la qualité des produits alimentaires.
Ces interventions ont concerné 45.000 points de vente en gros et au détail et des entrepôts de stockage, indique le département des affaires générales et de la gouvernance relevant du ministère de l’Economie, des Finances et de la Réforme de l'administration dans un communiqué. Les infractions sont ventilées en 745 pour défaut d'affichage des prix, 186 pour non présentation de factures, 64 pour hausses illicites de prix réglementés, 44 pour non-respect des normes de qualité et d'hygiène, en plus de 18 autres infractions diverses, précise la même source, ajoutant que les mesures réglementaires ont été prises à l’encontre des contrevenants.
Pour ce qui est de la qualité des marchandises et produits stockés ou présentés à la vente, les commissions mixtes ont procédé à la saisie et à la destruction d'environ 64 tonnes de marchandises impropres à la consommation.