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C’est ainsi que le syndicat des capitaines de la pêche côtière, genre chalutage, a suspendu les activités de 130 embarcations affiliées à la pêche côtière, suite au blocage des négociations avec le ministère de tutelle et aux multiples promesses des responsables, restées sans suite.
La principale revendication des grévistes, concernait la permission à tous les chalutiers de la pêche côtière d’accéder à la zone au sud de Boujdour avec un plafond de 2,5t. Les marins ont exigé, également, l’arrêt de toutes les procédures administratives concernant les capitaines de barques ainsi que la cessation d’emploi des appareils VMS qui délimitent la distance à 3 miles marins.
Les marins mécontents ont aussi exigé de hausser leur quota de poulpes et l’exonération des taxes de leurs produits à hauteur de 40%.
Certains grévistes soupçonnent le ministère de craindre le lobby des exploitants de la pêche hauturière, dont les membres seraient très écoutés par des responsables influents au niveau du département.
A noter que cette grève qui a duré toute une semaine aura des conséquences néfastes sur l’économie de la région, surtout que la pêche est la plus importante source financière des conseils des trois régions sahariennes.