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Dans son rapport mensuel publié récemment, l'AIE anticipe une croissance de la demande mondiale de 1,21 million de barils par jour (bpj) l'an prochain, soit 150.000 bpj de moins que la prévision du mois dernier.
"Un ralentissement marqué de la croissance de la demande que l'on peut projeter l'an prochain et l'arrivée prévisible des barils iraniens, pour autant que les sanctions internationales soient assouplies, feront que le marché restera sans doute saturé tout au long de 2016", écrit l'organisme, qui conseille les grandes puissances économiques sur leur politique énergétique. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a augmenté l'offre en septembre de 90.000 bpj, à 37,12 millions bpj, estime l'AIE, qui pense que la production du cartel restera de l'ordre de 31,5 millions bpj dans les mois à venir, l'Arabie saoudite et l'Irak en particulier se focalisant sur leur part de marché.
"La production totale hors-Opep devrait diminuer de près de 500.000 bpj l'an prochain, une réduction mondiale des investissements en amont de près de 20% ayant des répercussions à la fois sur les nouveaux projets et la production existante", poursuit l'AIE.
Ce recul n'est pas aussi spectaculaire que celui projeté par l'AIE en septembre et l'agence a relevé légèrement sa prévision d'offre hors-Opep en 2016. Elle abaisse celle de l'Opep, de 200.000 bpj à 31,3 millions bpj.