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Le marché de l’art limite la casse grâce au numériqueLundi 15 Mars 2021
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Le marché de l’art, forcé de basculer massivement vers le numérique, a globalement bien accusé le choc du Covid avec une perte de 21% de chiffre d’affaires seulement, découvrant de nouveaux clients et marchés, révèle un rapport publié lundi. La baisse du nombre de lots vendus n’est que de 9% et le taux d’invendus est surprenant dans un contexte de crise: seulement 34%, indique Artprice, société leader mondial de l’information sur le marché de l’art, dans son rapport annuel. En comparaison avec d’autres secteurs sinistrés, le marché de l’art résiste mieux, et, selon Artprice, c’est la digitalisation des ventes qui a fait arriver de nouveaux clients plus jeunes qui achètent souvent de l’art contemporain. Publié chaque année, le rapport porte sur les résultats de “Fine Art”: peintures, sculptures, dessins, photographies, estampes, vidéos, installations, tapisseries, à l’exclusion du mobilier, des automobiles, etc. “Le marché de l’art a su rebondir par le numérique qu’il a totalement investi, ce qui a permis de limiter la chute du chiffre d’affaires”, souligne Thierry Ehrmann, président d’Artprice. La Chine est revenue à la première place mondiale après quatre ans où les Etats-Unis l’avaient devancée. Elle pèse 39% du marché du “fine art” contre 27% aux États-Unis, où la flambée de l’épidémie a eu des forces répercussions sur le marché, et 15% au Royaume-Uni. En Europe, la France retombe plusieurs années en arrière avec un chiffre d’affaires de 578 millions de dollars (483 M euros), contre 827 millions (691 M euros) en 2019, soit moins 31%. Fléchissent pareillement le Royaume-Uni (- 30%) et l’Italie (32%). Le rapport pointe une forte demande pour la peinture figurative contemporaine, notamment celle liée à l’Afrique.
Libé
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