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Le film "Animal", de la réalisatrice grecque Sofia Exarchou, ouvre une fenêtre sur le monde intérieur des animateurs de spectacles qui souffrent en silence car le show doit continuer.
Le long métrage "Animal" (116 minutes), présent à la 17e édition du Festival international du film de femmes de Salé pour sa première projection internationale, incarne le trait de la diversité qui marque la programmation du festival. Des souffrances et des expériences personnelles douloureuses d'hommes et de femmes à travers un groupe d'animateurs issus de l'Europe de l'est, sauf que les gémissements devront s'arrêter au moment de monter sur scène, face à une responsabilité inévitable de créer la joie et la bonne humeur.
La réalisatrice plonge dans des portraits marginalisés surmontant leurs épreuves silencieusement pour avoir de quoi subvenir à leurs besoins sous le soleil brûlant d'une île grecque.
La vision de la réalisatrice use de la langue corporelle qui ne cache pas ses cicatrices même à l'apogée des rythmes de danse, comme en témoignent des scènes montrant le visage de Kalia, la star du groupe, d'Eva et d'autres animateurs.
Dix films, dont deux marocains, sont en lice, pour la compétition officielle de la catégorie des longs métrages, face à un jury présidé par l'actrice et réalisatrice marocaine Maryam Touzani et qui comprend Ágnes Kocsis de Hongrie, Hana Shiha d’Égypte, Odile Sankara du Burkina Faso, et Fleur Albert de France.
Le long métrage "Animal" (116 minutes), présent à la 17e édition du Festival international du film de femmes de Salé pour sa première projection internationale, incarne le trait de la diversité qui marque la programmation du festival. Des souffrances et des expériences personnelles douloureuses d'hommes et de femmes à travers un groupe d'animateurs issus de l'Europe de l'est, sauf que les gémissements devront s'arrêter au moment de monter sur scène, face à une responsabilité inévitable de créer la joie et la bonne humeur.
La réalisatrice plonge dans des portraits marginalisés surmontant leurs épreuves silencieusement pour avoir de quoi subvenir à leurs besoins sous le soleil brûlant d'une île grecque.
La vision de la réalisatrice use de la langue corporelle qui ne cache pas ses cicatrices même à l'apogée des rythmes de danse, comme en témoignent des scènes montrant le visage de Kalia, la star du groupe, d'Eva et d'autres animateurs.
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