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Ainsi, les recettes ordinaires se sont élevées à 49,5 milliards DH (MMDH) à fin mars 2013, en diminution de 3,6% par rapport à fin mars 2012. Cette évolution s'explique notamment par la baisse de 12,1% des impôts directs, de 0,4% des impôts indirects et de 21,5% des droits de douane conjuguée à une hausse de 19,7% des droits d'enregistrement et de timbre et de 30,4% des recettes non fiscales.
En ce qui concerne le volet dépenses, la TGR laisse apparaître un taux d’engagement global des dépenses de 36% et un taux d’émission sur engagements de 73%, contre respectivement 31 et 79% un an auparavant avec des dépenses ordinaires en hausse de 19,1% résultant de l’augmentation des charges de la compensation de 50,3%, des dépenses des autres biens et services de 32,3%, des dépenses du personnel de 4,5% et des charges en intérêts de la dette de 0,9%. Aussi, les dépenses d’investissement s’inscrivent en hausse de 43,5%, se chiffrant à 12,6 MMDH à fin mars 2013.
Pour ce qui est du taux de couverture des dépenses ordinaires par les recettes ordinaires, il n’a été que de 67,3% à fin mars 2013 contre 85,7% un an auparavant, d’après la même source.
Ainsi, 52,6% de ces recettes ont été absorbées par les dépenses du personnel, 33,4% par les charges de la compensation et 11,6% par les charges en intérêts de la dette, alors qu'une partie des dépenses ordinaires et la totalité des dépenses d'investissement ont été financées principalement par le recours à l'emprunt, explique la TGR.








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