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Des analyses dentaires et d'ADN effectuées cette semaine par la police scientifique ont révélé qu'il s'agissait de Natsuko Okuyama, une femme de 61 ans qui avait disparu dans la tragédie du 11 mars 2011, a précisé le porte-parole. Le bilan confirmé de la triple catastrophe de 2011 au Japon (séisme, tsunami et accident nucléaire de Fukushima) s'élevait à 15.899 morts en décembre 2020, selon la police nippone.
Mais plus de 2.500 personnes sont toujours officiellement portées disparues dix ans plus tard, ce qui empêche de nombreuses personnes de faire le deuil de leurs proches dont les corps n'ont jamais été retrouvés. Des médias locaux ont cité le fils de Natsuko Okuyama qui a remercié la personne ayant trouvé les restes. "Je suis extrêmement heureux que ma mère ait été retrouvée à l'approche du 10e anniversaire", a-t-il déclaré selon l'agence de presse Kyodo. "Cela me permettra de mettre de l'ordre dans mes émotions et d'aller de l'avant".