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Selon M. Al-Amri, président de la septième session de l'Assemblée des Nations unies pour l'environnement, le Royaume «dispose d’un potentiel considérable pour réussir sa transition énergétique vers l’éolien et le solaire» et s’emploie à devenir «une plateforme stratégique d’exportation d’énergie propre vers ses voisins, notamment l’Europe ».
«Ce leadership incite de nombreux pays africains et européens à s’aligner sur les efforts qu'il entreprend», a observé le responsable omanais dans une interview à MAP-Brésil, voyant dans cette orientation «une opportunité économique verte majeure».
Pour M. Al-Amri, «l’équilibre dans la politique extérieure du Maroc, allié à sa vision résolument tournée vers le développement durable, en fait un pays respecté et admiré dans le monde arabe, en Afrique et en Europe», se disant «fier des réalisations accomplies par le Royaume sur les plans économique, social et environnemental».
S'agissant de la coopération bilatérale, le président de l’Autorité de l’environnement d’Oman a rappelé la profondeur des relations entre Rabat et Mascate, à tous les niveaux.
«Le Maroc et le Sultanat d'Oman représentent les deux ailes du monde arabe : l’Orient et l’Occident», a-t-il dit. Cette proximité naturelle, a-t-il ajouté, se traduit par une coordination constante entre l’Autorité de l’environnement du Sultanat d’Oman et le ministère de la Transition énergétique et du Développement durable dans les différentes instances internationales pour contribuer, d’une part, aux efforts mondiaux de lutte contre le changement climatique et, d’autre part, préserver la stabilité et garantir la prospérité des deux pays.
Evoquant la dimension multilatérale, M. Al-Amri a relevé que la présidence omanaise du Programme des Nations unies pour l’environnement (UNEA-7), après celle du Maroc, illustre la complémentarité entre les deux pays. «Le Maroc représentait l’Afrique et Oman l’Asie-Pacifique : une belle coïncidence qui traduit la convergence de nos visions », a-t-il conclu.







