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Mohamed Mahmoud Hamdi, un jeune homme de la tribu R’Guibatt Labeihatt recevait des soins dans un semblant d’hôpital. Il avait été accusé de non-respect du couvre-feu en vigueur dans les camps et d’intelligence avec un ennemi étranger avant d’être kidnappé. Venue lui rendre visite, son épouse était surprise de son absence. Elle s’est alors adressée aux miliciens censés assurer la sécurité de l’hôpital pour leur demander des nouvelles de son mari. Ces derniers la traitèrent de tous les noms, lui ordonnant de dégager et devant son insistance à avoir des nouvelles de son mari, elle fut rossée de coups.
Les sources rapportant cette information ont indiqué que le jeune homme a déjà fait l’objet de mauvais traitements et de coups ayant provoqué une fracture au niveau du dos, suite à sa participation à une manifestation dénonçant la répression exercée par la direction du Polisario et l’implication de celle-ci dans le kidnapping de la jeune Mahjouba Hamdi. La jeune femme a aussitôt compris que la direction du Polisario n’apprécie pas que l’on vienne chercher ceux qui ont été kidnappés sur ses instructions.