Autres articles
-
Un sculpteur et les héritiers d’Hergé s ’ affrontent sur “l’ originalité” de Tintin
-
“Raya ” , “Godzilla vs Kong ” : les sorties directes sur petit écran se multiplient
-
Qui est Frank Grillo, le nouveau monsieur muscles de Hollywood ?
-
Netflix obligé d’ enlever une séquence d’ un film violant une loi électorale
-
Le livre: Demain l'âge d'or de Jacques Heitz
Le Maroc marquera par sa présence la douzième édition du Festival du cinéma arabe au Brésil, prévue du 9 au 16 août à Sao Paulo, avec la projection du film "Affame ton chien" (2015) du réalisateur Hicham Lasri.Le film, primé de plusieurs distinctions nationales et internationales, revient sur les années de plomb à travers l'histoire d'une équipe de télévision qui attend l’arrivée d’une personnalité haute en couleur pour ce qui va être un reportage sur sa vie.
Entre dysfonctionnement et comédie, l’équipe de tournage réapprend à se connaître après une très longue séparation, mais ce qui a jadis été une sorte de famille professionnelle révèle les fêlures et les haines durant cette journée de tournage qui coïncide avec le dernier jour de Ramadan.L’édition de cette année, placée sous le signe "Les territoires qui nous traversent", propose une dizaine d’œuvres cinématographiques inédites abordant la diversité du monde arabe mais aussi la question de l’immigration et de l’exil."Les films choisis traitent la thématique de l’exil et de la reconstruction du sentiment d'appartenance. (…) Le festival mettra également en avant des films qui constituent des témoignages importants de moments historiques, en particulier pour ceux qui, comme les Palestiniens, font face à la disparition matérielle et symbolique de leurs archives", a affirmé le directeur du festival, Geraldo de Campos.Organisé par l’Institut de culture arabe (Icarabe), en partenariat avec le Centre culturel Banco do Brasil et le sponsoring de la Chambre arabo-brésilienne de commerce, le festival propose cette année des classiques du cinéma arabe comme "Ila Ayn" (Vers où ?) du réalisateur libanais Georges Nasser, qui traite de la migration d'un père de famille de son Liban natal vers le Brésil.Le film tourné dans les années 60 est une œuvre inédite qui raconte l’histoire de millions de familles ayant quitté leurs pays d’origine pour s’installer au Brésil. Premier film libanais projeté à Cannes, "Ila Ayn" a été restauré numériquement.En plus d’une sélection cinématographique très variée des Comores, des Emirats arabes unis, du Liban, de Syrie, d’Irak, de Palestine, de Jordanie et du Brésil, les férus du septième art ont rendez-vous avec un concert inédit qui mettra à l’honneur des poèmes écrits au XIème siècle par Al Mutamid Ibn Abbad (1040–1095), dernier émir abbadide à régner à Séville.Le concert "Al Moutamid Ibn Abbad, roi-poète d’Andalousie : un voyage à travers dix siècles de musique et d’échanges culturels", réunira des musiciens du Maroc, du Portugal et d’Espagne.
Entre dysfonctionnement et comédie, l’équipe de tournage réapprend à se connaître après une très longue séparation, mais ce qui a jadis été une sorte de famille professionnelle révèle les fêlures et les haines durant cette journée de tournage qui coïncide avec le dernier jour de Ramadan.L’édition de cette année, placée sous le signe "Les territoires qui nous traversent", propose une dizaine d’œuvres cinématographiques inédites abordant la diversité du monde arabe mais aussi la question de l’immigration et de l’exil."Les films choisis traitent la thématique de l’exil et de la reconstruction du sentiment d'appartenance. (…) Le festival mettra également en avant des films qui constituent des témoignages importants de moments historiques, en particulier pour ceux qui, comme les Palestiniens, font face à la disparition matérielle et symbolique de leurs archives", a affirmé le directeur du festival, Geraldo de Campos.Organisé par l’Institut de culture arabe (Icarabe), en partenariat avec le Centre culturel Banco do Brasil et le sponsoring de la Chambre arabo-brésilienne de commerce, le festival propose cette année des classiques du cinéma arabe comme "Ila Ayn" (Vers où ?) du réalisateur libanais Georges Nasser, qui traite de la migration d'un père de famille de son Liban natal vers le Brésil.Le film tourné dans les années 60 est une œuvre inédite qui raconte l’histoire de millions de familles ayant quitté leurs pays d’origine pour s’installer au Brésil. Premier film libanais projeté à Cannes, "Ila Ayn" a été restauré numériquement.En plus d’une sélection cinématographique très variée des Comores, des Emirats arabes unis, du Liban, de Syrie, d’Irak, de Palestine, de Jordanie et du Brésil, les férus du septième art ont rendez-vous avec un concert inédit qui mettra à l’honneur des poèmes écrits au XIème siècle par Al Mutamid Ibn Abbad (1040–1095), dernier émir abbadide à régner à Séville.Le concert "Al Moutamid Ibn Abbad, roi-poète d’Andalousie : un voyage à travers dix siècles de musique et d’échanges culturels", réunira des musiciens du Maroc, du Portugal et d’Espagne.