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Le Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) œuvrera, dans le cadre de son plan d'action, à faire entendre la voix des jeunes dans tous les domaines et les impliquer dans la promotion des droits de l'Homme, a indiqué dernièrement le président de la Commission régionale des droits de l'Homme de Fès-Meknès, Abdelmajid Makni.
"Les jeunes devraient être le porte-parole du futur", a-t-il dit lors d'un Forum régional des jeunes contre la peine de mort, initié par la Coalition marocaine contre la peine de mort (CMCPM) sous le signe "Les jeunes, un levier essentiel pour l'abolition de la peine de mort".
M. Makni a appelé dans ce cadre les jeunes à participer massivement au prochain Congrès international sur l'abolition de la peine capitale, prévu en juin prochain à Oslo.
Après avoir mis en avant les efforts consentis par le CNDH auprès de diverses instances pour promouvoir le plaidoyer et le débat autour de cette question, le responsable a indiqué que l'abolition de la peine de mort est l'un des sujets sur lesquels s'est penché dernièrement le Conseil.
De son côté, le coordinateur de la CMCPM, Abderrahim Jamaï, a relevé que la question de l'abolition de la peine de mort est devenue l'une des préoccupations de l'humanité.
"Le droit à la vie est indiscutable et ne peut être soumis à des considérations idéologiques ou politiques", a-t-il fait valoir, notant que "la garantie et la protection du droit à la vie sont dorénavant immunisées par des règles universelles incarnées par des conventions, des chartes et des protocoles, dont le deuxième protocole facultatif annexe au Pacte international des droits civils et politiques".
Pour sa part, le Consul général de France à Fès, Gilles Bourbao, a souligné que chaque année, des milliers de femmes et d'hommes à travers le monde sont encore condamnés à la peine capitale, ajoutant que "nous devons rester mobilisés, car le combat pour l'abolition universelle n'est pas encore gagné".
"Les jeunes devraient être le porte-parole du futur", a-t-il dit lors d'un Forum régional des jeunes contre la peine de mort, initié par la Coalition marocaine contre la peine de mort (CMCPM) sous le signe "Les jeunes, un levier essentiel pour l'abolition de la peine de mort".
M. Makni a appelé dans ce cadre les jeunes à participer massivement au prochain Congrès international sur l'abolition de la peine capitale, prévu en juin prochain à Oslo.
Après avoir mis en avant les efforts consentis par le CNDH auprès de diverses instances pour promouvoir le plaidoyer et le débat autour de cette question, le responsable a indiqué que l'abolition de la peine de mort est l'un des sujets sur lesquels s'est penché dernièrement le Conseil.
De son côté, le coordinateur de la CMCPM, Abderrahim Jamaï, a relevé que la question de l'abolition de la peine de mort est devenue l'une des préoccupations de l'humanité.
"Le droit à la vie est indiscutable et ne peut être soumis à des considérations idéologiques ou politiques", a-t-il fait valoir, notant que "la garantie et la protection du droit à la vie sont dorénavant immunisées par des règles universelles incarnées par des conventions, des chartes et des protocoles, dont le deuxième protocole facultatif annexe au Pacte international des droits civils et politiques".
Pour sa part, le Consul général de France à Fès, Gilles Bourbao, a souligné que chaque année, des milliers de femmes et d'hommes à travers le monde sont encore condamnés à la peine capitale, ajoutant que "nous devons rester mobilisés, car le combat pour l'abolition universelle n'est pas encore gagné".