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Ce n’est point une fausse alerte, commente sur un ton moqueur un membre du bureau exécutif du Forum Alternatives du Maroc (FMAS), initiateur principal de cette nouvelle dynamique, allusion faite aux slogans de lutte contre toutes les formes de corruption prônées par le gouvernement Benkirane et son parti. Et d’ajouter : «Nous sommes convaincus que l’action civile reste une force propositionnelle et une énergie de lutte contre toutes formes de contrôle, de mainmise et de clanisme politicien ».
La mobilisation ayant accompagné l’appel de Rabat va ainsi se traduire dans les faits. L’exclusion, la marginalisation et le clanisme politicien qui ont confirmé la tendance gouvernementale envers un sujet aussi sensible et aussi important. Le dialogue civil parallèle palliera certainement cette absence participative et démocratique, souligne Houria Esslami, présidente du FMAS qui met en avant des mots d’ordre clairs pour cette initiative : Ouverture sur tous, intégration de tous, démocratie participative…
Ces assises s’inscrivent dans le cadre du plan d’action adopté par les dynamiques associatives de l’appel de Rabat fixant les enjeux et les défis du mouvement associatif avec toute sa diversité et ses tendances.
L’objectif est d’approfondir les soubassements d’un Etat de droit conformément à une vision qui met en valeur le rôle de la société civile en tant qu’acteur central et essentiel dans la promotion des valeurs de démocratie, des droits humains et de citoyenneté.
Le FMAS, moteur de cette dynamique, vise ainsi à contribuer au processus de débats pour la mise en œuvre des dispositions de la Constitution dans sa partie relative à la démocratie participative, la participation citoyenne et à l’action associative.










