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La série romantique d’époque “Bridgerton”, de la célèbre productrice Shonda Rhimes à l’origine de “Grey’s Anatomy”, a été renouvelée pour une deuxième saison par la plateforme Netflix, où elle avait fait un carton à sa sortie le mois dernier. La série se déroule en 1813 en Angleterre, sous la régence du prince de Galles, période de bouillonnement culturel marquée notamment par les écrivaines Jane Austen et Mary Shelley. Mais la création de Shonda Rhimes a choisi de prendre des libertés avec les romans dont la série est inspirée, et surtout avec la réalité historique, assumant des anachronismes parfois flagrants.
La recette a manifestement séduit puisque “Bridgerton” aura été vue dans plus de 63 millions de foyers au cours des quatre semaines suivant sa sortie, le jour de Noël, selon Netflix. “Chers lecteurs (...) j’ai l’honneur de vous apprendre la nouvelle: Bridgerton va officiellement revenir pour une deuxième saison”, a écrit sur les réseaux sociaux la plateforme de vidéo à la demande, dans le style de la narratrice imaginaire de la série, Lady Whistledown, à laquelle Julie Andrews prête sa voix. La première saison suivait Daphne Bridgerton (Phoebe Dynevor), une jeune femme en quête d’un mari, comme la plupart de ses homologues issues de la bonne société, et qui va nouer une relation en trompe-l’oeil avec Simon Bassett, un duc, source de quiproquos et de rebondissements. La production de la deuxième saison va reprendre au printemps et se concentrera sur les “activités romantiques” du frère de Daphne, Lord Anthony Bridgerton (Jonathan Bailey). Chaque roman de la série de livres écrite par Julia Quinn, qui a inspiré la série télévisée, est consacré à un membre de la famille. Créatrice de “Grey’s Anatomy” et “Scandal”, Shonda Rhimes a mis 40 mois pour livrer sa première série à la plateforme qui lui a offert, selon plusieurs médias américains, un contrat de 150 millions de dollars. A la différence d’autres références récentes, comme “Downton Abbey”, qui se voulaient au plus près de leur époque, “Bridgerton n’est pas un cours d’histoire”, revendique son créateur Chris Van Dusen.
La recette a manifestement séduit puisque “Bridgerton” aura été vue dans plus de 63 millions de foyers au cours des quatre semaines suivant sa sortie, le jour de Noël, selon Netflix. “Chers lecteurs (...) j’ai l’honneur de vous apprendre la nouvelle: Bridgerton va officiellement revenir pour une deuxième saison”, a écrit sur les réseaux sociaux la plateforme de vidéo à la demande, dans le style de la narratrice imaginaire de la série, Lady Whistledown, à laquelle Julie Andrews prête sa voix. La première saison suivait Daphne Bridgerton (Phoebe Dynevor), une jeune femme en quête d’un mari, comme la plupart de ses homologues issues de la bonne société, et qui va nouer une relation en trompe-l’oeil avec Simon Bassett, un duc, source de quiproquos et de rebondissements. La production de la deuxième saison va reprendre au printemps et se concentrera sur les “activités romantiques” du frère de Daphne, Lord Anthony Bridgerton (Jonathan Bailey). Chaque roman de la série de livres écrite par Julia Quinn, qui a inspiré la série télévisée, est consacré à un membre de la famille. Créatrice de “Grey’s Anatomy” et “Scandal”, Shonda Rhimes a mis 40 mois pour livrer sa première série à la plateforme qui lui a offert, selon plusieurs médias américains, un contrat de 150 millions de dollars. A la différence d’autres références récentes, comme “Downton Abbey”, qui se voulaient au plus près de leur époque, “Bridgerton n’est pas un cours d’histoire”, revendique son créateur Chris Van Dusen.
La recette a manifestement séduit puisque “Bridgerton” aura été vue dans plus de 63 millions de foyers au cours des quatre semaines suivant sa sortie, le jour de Noël, selon Netflix. “Chers lecteurs (...) j’ai l’honneur de vous apprendre la nouvelle: Bridgerton va officiellement revenir pour une deuxième saison”, a écrit sur les réseaux sociaux la plateforme de vidéo à la demande, dans le style de la narratrice imaginaire de la série, Lady Whistledown, à laquelle Julie Andrews prête sa voix. La première saison suivait Daphne Bridgerton (Phoebe Dynevor), une jeune femme en quête d’un mari, comme la plupart de ses homologues issues de la bonne société, et qui va nouer une relation en trompe-l’oeil avec Simon Bassett, un duc, source de quiproquos et de rebondissements. La production de la deuxième saison va reprendre au printemps et se concentrera sur les “activités romantiques” du frère de Daphne, Lord Anthony Bridgerton (Jonathan Bailey). Chaque roman de la série de livres écrite par Julia Quinn, qui a inspiré la série télévisée, est consacré à un membre de la famille. Créatrice de “Grey’s Anatomy” et “Scandal”, Shonda Rhimes a mis 40 mois pour livrer sa première série à la plateforme qui lui a offert, selon plusieurs médias américains, un contrat de 150 millions de dollars. A la différence d’autres références récentes, comme “Downton Abbey”, qui se voulaient au plus près de leur époque, “Bridgerton n’est pas un cours d’histoire”, revendique son créateur Chris Van Dusen.
La recette a manifestement séduit puisque “Bridgerton” aura été vue dans plus de 63 millions de foyers au cours des quatre semaines suivant sa sortie, le jour de Noël, selon Netflix. “Chers lecteurs (...) j’ai l’honneur de vous apprendre la nouvelle: Bridgerton va officiellement revenir pour une deuxième saison”, a écrit sur les réseaux sociaux la plateforme de vidéo à la demande, dans le style de la narratrice imaginaire de la série, Lady Whistledown, à laquelle Julie Andrews prête sa voix. La première saison suivait Daphne Bridgerton (Phoebe Dynevor), une jeune femme en quête d’un mari, comme la plupart de ses homologues issues de la bonne société, et qui va nouer une relation en trompe-l’oeil avec Simon Bassett, un duc, source de quiproquos et de rebondissements. La production de la deuxième saison va reprendre au printemps et se concentrera sur les “activités romantiques” du frère de Daphne, Lord Anthony Bridgerton (Jonathan Bailey). Chaque roman de la série de livres écrite par Julia Quinn, qui a inspiré la série télévisée, est consacré à un membre de la famille. Créatrice de “Grey’s Anatomy” et “Scandal”, Shonda Rhimes a mis 40 mois pour livrer sa première série à la plateforme qui lui a offert, selon plusieurs médias américains, un contrat de 150 millions de dollars. A la différence d’autres références récentes, comme “Downton Abbey”, qui se voulaient au plus près de leur époque, “Bridgerton n’est pas un cours d’histoire”, revendique son créateur Chris Van Dusen.
Béata Umubyeyi Mairesse
Le Prix des cinq continents de la Francophonie a été attribué, mercredi, à l’auteure franco-rwandaise Béata Umubyeyi Mairesse, pour son roman “Tous les enfants dispersés”, a annoncé l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Paru aux éditions Autrement, le roman raconte le parcours de Blanche, Rwandaise, qui vit à Bordeaux après avoir fui le génocide des Tutsi de 1994 et qui revient rendre visite après des années d’exil à sa mère. Le Jury a également décerné une mention spéciale à l’écrivain français Paul Kawczak pour son roman “Ténèbre” publié aux éditions La Peuplade. Le Prix sera remis à Paris, au siège de l’OIF dans le courant du mois de mars, en marge de la Journée internationale de la Francophonie 2021, relève l’organisation.
Doté d’un montant de 10.000 euros, le Prix des cinq continents, créé en 2001, permet de mettre en lumière des talents littéraires reflétant l’expression de la diversité culturelle et éditoriale en langue française sur les cinq continents, souligne l’OIF. Ce prix permet également d’offrir un rayonnement international au lauréat qui bénéficiera d’un accompagnement promotionnel pendant toute une année, l’OIF assurant sa participation à des rencontres littéraires, foires et salons internationaux identifiés de commun accord avec lui.
Doté d’un montant de 10.000 euros, le Prix des cinq continents, créé en 2001, permet de mettre en lumière des talents littéraires reflétant l’expression de la diversité culturelle et éditoriale en langue française sur les cinq continents, souligne l’OIF. Ce prix permet également d’offrir un rayonnement international au lauréat qui bénéficiera d’un accompagnement promotionnel pendant toute une année, l’OIF assurant sa participation à des rencontres littéraires, foires et salons internationaux identifiés de commun accord avec lui.