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La richesse de l'expérience du grand poète Abderrafie Jouahri a été mise en lumière lors d'une rencontre organisée, samedi à Marrakech, avec la participation d'un parterre de chercheurs, de critiques et d'intellectuels.
Cette rencontre intervient dans le cadre de la première édition du Festival national de la poésie arabe filmée, initiée par l'Association "Wachma" pour l'art et la culture, avec le soutien du conseil communal de Marrakech.
Les intervenants lors de cette rencontre ont ainsi mis en avant la contribution significative de M. Jouahri à l'enrichissement de l'expérience poétique marocaine, en tant que source d'inspiration pour de nombreux artistes marocains, qui ont exploité ses poèmes dans la chanson marocaine classique et dans des œuvres théâtrales.
Ils ont, également, mis en relief la richesse et l'esthétique des écrits de M. Jouahri, expliquant que ses poèmes véhiculent des messages profonds, permettant au large public, à travers des lectures critiques, d'apprécier les qualités linguistiques et littéraires uniques que possède ce grand poète.
Dans une déclaration à la MAP, Sanae El Hadaji, présidente de l'Association Wachma pour l'art et la culture, a indiqué que cet événement vise à renforcer la diffusion à grande échelle de la poésie, à travers l'utilisation des nouvelles technologies, eu égard à l'intérêt croissant accordé par les jeunes aux supports numériques, et à créer une compétition positive entre les jeunes créateurs.
De son côté, le critique Mohammed Ait Laâmim a souligné que cette rencontre offre l'occasion de faire la lumière sur l'importance et la place de choix qu'occupent les œuvres littéraires de l'écrivain et poète Abderrafie Jouahri au sein du paysage culturel marocain.
"Nous avons besoin de lectures critiques pour que le lecteur puisse mesurer la richesse et la portée des oeuvres de ce pionnier", surtout que ses écrits s'intéressent aux différents événements politiques, sociaux et culturels au Maroc, a-t-il ajouté.
Outre cette rencontre, le programme de ce premier Festival national de la poésie arabe filmée comprenait une exposition d'art plastique, des témoignages et des lectures poétiques animées par plusieurs poètes, dont Salah El-Ouadie, Touria Iqbal, Touria Majdouline et Jamal Amach.
Au menu figurait aussi une cérémonie de remise des prix aux lauréats du concours littéraire et artistique sur le thème de "la poésie arabe filmée" (prix du meilleur travail complet, prix de la meilleure poésie, prix de la meilleure voix).
Cette rencontre intervient dans le cadre de la première édition du Festival national de la poésie arabe filmée, initiée par l'Association "Wachma" pour l'art et la culture, avec le soutien du conseil communal de Marrakech.
Les intervenants lors de cette rencontre ont ainsi mis en avant la contribution significative de M. Jouahri à l'enrichissement de l'expérience poétique marocaine, en tant que source d'inspiration pour de nombreux artistes marocains, qui ont exploité ses poèmes dans la chanson marocaine classique et dans des œuvres théâtrales.
Ils ont, également, mis en relief la richesse et l'esthétique des écrits de M. Jouahri, expliquant que ses poèmes véhiculent des messages profonds, permettant au large public, à travers des lectures critiques, d'apprécier les qualités linguistiques et littéraires uniques que possède ce grand poète.
Dans une déclaration à la MAP, Sanae El Hadaji, présidente de l'Association Wachma pour l'art et la culture, a indiqué que cet événement vise à renforcer la diffusion à grande échelle de la poésie, à travers l'utilisation des nouvelles technologies, eu égard à l'intérêt croissant accordé par les jeunes aux supports numériques, et à créer une compétition positive entre les jeunes créateurs.
De son côté, le critique Mohammed Ait Laâmim a souligné que cette rencontre offre l'occasion de faire la lumière sur l'importance et la place de choix qu'occupent les œuvres littéraires de l'écrivain et poète Abderrafie Jouahri au sein du paysage culturel marocain.
"Nous avons besoin de lectures critiques pour que le lecteur puisse mesurer la richesse et la portée des oeuvres de ce pionnier", surtout que ses écrits s'intéressent aux différents événements politiques, sociaux et culturels au Maroc, a-t-il ajouté.
Outre cette rencontre, le programme de ce premier Festival national de la poésie arabe filmée comprenait une exposition d'art plastique, des témoignages et des lectures poétiques animées par plusieurs poètes, dont Salah El-Ouadie, Touria Iqbal, Touria Majdouline et Jamal Amach.
Au menu figurait aussi une cérémonie de remise des prix aux lauréats du concours littéraire et artistique sur le thème de "la poésie arabe filmée" (prix du meilleur travail complet, prix de la meilleure poésie, prix de la meilleure voix).
Bouillon de culture
Festival
La 7ème édition du Festival du film d'El Gouna se tiendra du 25 au 31 octobre, avec la participation de 71 longs métrages et documentaires en provenance de 40 pays, dont le Maroc, ont annoncé dimanche les organisateurs.
Le Maroc participe à cette manifestation cinématographique avec le film "Everybody Loves Toda", du réalisateur Nabil Ayouch, qui sera projeté dans le cadre de la compétition des longs métrages. Ce film a été déjà sélectionné pour représenter le Maroc aux Oscars 2025 dans la catégorie "Meilleur film en langue étrangère".
Le programme de cette édition comprend 55 longs métrages et documentaires et 16 courts métrages, dont 6 sont des premières mondiales. Ces œuvres sont en lice pour six prix: l'Etoile d'or d'El Gouna, l'Etoile d'argent, l'Etoile de bronze, l'Etoile du meilleur film arabe et les prix des meilleurs acteur et actrice.
Un hommage sera rendu à l'acteur égyptien Mahmoud Hemida lors de la cérémonie d'ouverture du festival en reconnaissance de son parcours artistique riche, ainsi que les cinéastes libanais Joanna Haji Touma et Khalil Joreige.
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Un hommage sera rendu à l'acteur égyptien Mahmoud Hemida lors de la cérémonie d'ouverture du festival en reconnaissance de son parcours artistique riche, ainsi que les cinéastes libanais Joanna Haji Touma et Khalil Joreige.