La grande majorité des sites olympiques en Île-de-France (région parisienne) sont trop pollués, selon un rapport de l'association de lutte contre la pollution de l'air "Respire".
"La quasi-totalité des terrains de sport en plein air parisiens et de banlieue dépassent les seuils de recommandation de l’Organisation mondiale de la santé en matière de qualité de l’air en 2023", souligne le rapport de l'association, publié à moins de deux semaines du début des Jeux olympiques de Paris (26 juillet - 11 août).
Si l’association souligne "une amélioration" de la qualité de l’air ces dix dernières années à Paris, elle appelle toutefois à la vigilance, dans un "contexte de vagues de chaleur" souvent à l’origine de "pics de pollution à l’ozone".
Par ailleurs, le rapport note que "la majorité des terrains les plus pollués de la capitale se situent à proximité du périphérique et sont notamment beaucoup plus exposés au NO2 que les autres terrains de sport", précisant qu'un tiers de l’ensemble des stades parisiens et de proche banlieue sont situés en bordure de périphérique.
"Du fait de l’augmentation de la fréquence respiratoire à l’effort, les sportifs inhalent 4 à 10 fois plus de polluants atmosphériques qu’au repos", relève-t-on de même source.
Et d'alerter que "les activités physiques pratiquées dans des lieux fortement exposés à la pollution de l’air diminuent la performance sportive et augmentent le risque d’événements cardiovasculaires et d’épisodes inflammatoires".
La pollution de l'air est la troisième cause de mortalité dans l'Hexagone. Elle provoque notamment des maladies cardiovasculaires, respiratoires ou encore neurologiques.
"La quasi-totalité des terrains de sport en plein air parisiens et de banlieue dépassent les seuils de recommandation de l’Organisation mondiale de la santé en matière de qualité de l’air en 2023", souligne le rapport de l'association, publié à moins de deux semaines du début des Jeux olympiques de Paris (26 juillet - 11 août).
Si l’association souligne "une amélioration" de la qualité de l’air ces dix dernières années à Paris, elle appelle toutefois à la vigilance, dans un "contexte de vagues de chaleur" souvent à l’origine de "pics de pollution à l’ozone".
Par ailleurs, le rapport note que "la majorité des terrains les plus pollués de la capitale se situent à proximité du périphérique et sont notamment beaucoup plus exposés au NO2 que les autres terrains de sport", précisant qu'un tiers de l’ensemble des stades parisiens et de proche banlieue sont situés en bordure de périphérique.
"Du fait de l’augmentation de la fréquence respiratoire à l’effort, les sportifs inhalent 4 à 10 fois plus de polluants atmosphériques qu’au repos", relève-t-on de même source.
Et d'alerter que "les activités physiques pratiquées dans des lieux fortement exposés à la pollution de l’air diminuent la performance sportive et augmentent le risque d’événements cardiovasculaires et d’épisodes inflammatoires".
La pollution de l'air est la troisième cause de mortalité dans l'Hexagone. Elle provoque notamment des maladies cardiovasculaires, respiratoires ou encore neurologiques.