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Le Maroc a été également représenté par le long-métrage "Chaïbia, la paysanne des arts" du réalisateur Youssef Britel. Quant au concours international du festival, dont la clôture a eu lieu mardi dernier, le Royaume participait avec le film "L'orchestre des aveugles", du réalisateur marocain Mohamed Mouftakir, tandis que le documentaire "Des murs et des hommes" de la réalisatrice marocaine Dalila Ennadre était en lice dans la catégorie des films documentaires. Trois autres productions marocaines ont été également projetées dans le cadre du cycle "Regard spécial sur le cinéma marocain", à savoir "Dallas'' du réalisateur Mohamed Ali El Mejboud, "Bollywood Dream" de Yassine Fennan et "Aïda" de Driss Lmrini. Un hommage a, par ailleurs, été rendu au directeur général du Centre cinématographique marocain (CCM), Mohamed Sarim Al Haq Fassi-Fihri, à des figures marquantes du cinéma méditerranéen, notamment les cinéastes italien Lou Castel et égyptien Mohamed Abdelaziz, l'actrice égyptienne Sawsan Badr, ainsi que les scénaristes égyptien Farouk Sabri et algérien Ahmed Bajaoui.
Rappelons enfin que Abdelkader Lagtaa est né à Casablanca en 1948. Il intègre en 1968, l'Ecole nationale de cinéma en Pologne. Quelques années plus tard, il réalise plusieurs courts métrages et participe à la réalisation du film collectif « Les cendres du clos » 1976. En 1988, il co-écrit et coréalise le documentaire «La femme rurale» et en 1995 le skecth «Happy end». Abdelkader Lagtaa a également réalisé les films "Amour à Casablanca" (1992), "Les casablancais" (1999), "La porte close" (1995) "Face à face" (2003) et "Yasmine et les hommes" (2006).










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