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Dans ce contexte, il est clair qu'investir dans le capital humain est un choix judicieux vers plus d'efficacité, de compétitivité et certainement vers plus d'innovation. C'est aussi un choix stratégique pour un Maroc appelé à se positionner en hub économique entre le continent africain et le reste du monde.
La Fédération de l'enseignement professionnel privé (FMEP) et la Fédération de l'enseignement privé (FEP) CGEM ont proposé un plan de relance économique comme moyen de sortie de la crise et également pour accompagner la mise en œuvre de la loi-cadre 51/17.
Ledit plan met l'accent, entre autres, sur des mesures urgentes incitatives à la relance économique du secteur de la formation professionnelle en activant le contrat-programme public-privé de contractualisation de la formation professionnelle avec le secteur privé prévoyant initialement la formation de 30.000 stagiaires à l’horizon 2021.
Le contrat-programme découlant de la Stratégie nationale de la formation professionnelle (SNFP 2021) a été acté le 30 mars 2016.
Le plan de relance demande dans ce cadre de réviser la convention en question pour surmonter les contraintes liées à la crise économique.
D'autres mesures d'ordre administratif, juridique et surtout fiscal ont été proposées comme étant des leviers à activer pour relancer un secteur en chute libre.
Jawad DADSI
Vice-président FEP CGEM
Vice-Président chargé de communication FMEP.