Ce colloque a fait l’objet d’un partage d’expériences et d’idées entre les membres de la Fondation, venus de différentes régions du Maroc, et ceux d’autres associations opérant dans le même secteur.
Active depuis 1997, Zakoura exerce ses activités, à but non lucratif, pour un développement humain, et ce par la création d’écoles d’éducation non formelle au profit des enfants de 8 à 16 ans qui n’ont pas eu la chance d’intégrer l’école ou même ceux qui ont quitté les bancs de l’école après leurs études primaires.
Suite à une augmentation importante du nombre d’abandons scolaires à la fin du cycle fondamental, la Fondation a mis en place son programme, en partenariat avec le PNUD, ProgettoMondo MLAL, ainsi que des sociétés et des particuliers. Un soutien psycho-social et financier a été ainsi mis à la disposition des bénéficiaires de cette action. En effet, Zakoura consacre un budget pour ^permettre aux bénéficiaires de subvenir aux principales dépenses induites par la scolarité, à savoir : les frais de scolarité, le transport, le logement, les fournitures …
« Aujourd’hui, dans les régions de Casablanca, Tanger-Tétouan, Doukkala-Abda et Souss-Massa-Draa, près de 200 élèves ont bénéficié du programme de l’éducation non formelle », a indiqué la présidente de la Fondation, Mounia Benchekroune.
Des témoignages ont également eu droit de cité lors cette rencontre qui ne semble pas avoir donné satisfaction aux participants, ni répondu à leurs interrogations et attentes.