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La femme marocaine fêtée et honorée au-delà des frontières. C’est ce que s’apprête à faire la ville d’Orléans afin de marquer la Journée internationale de la femme. Deux jours durant, le 27 et le 30 mars, des espaces de rencontres seront ouverts à même de permettre aux femmes des deux rives de construire des solidarités effectives et réciproques et des projets pour l’accès aux droits, et à l’autonomisation.
Cette manifestation, initiée par le consulat général du Royaume du Maroc à Orléans, s'inscrit dans le cadre d'une série d’activités culturelles, d'échanges, auxquels adhèrent les membres de la communauté marocaine, fortement impliqués, du reste, dans le développement local. Ils sont également animés par un souci de "rapprochement et d'une meilleure connaissance mutuelle" avec les autres communautés.
Le colloque, qui connaîtra la participation des femmes d’origine marocaine, œuvrant dans le domaine du développement humain, ainsi que des femmes chefs d’entreprises et des diplomates, élues et députées, est organisé en partenariat avec le ministère délégué chargé des Marocains résidant à l'étranger, et le Centre national d’information sur les droits des femmes et des familles (CIDFF) à Orléans .
Quant au thème choisi pour cet événement "Double culture au féminin : défis et opportunités ", il vise notamment à "renforcer les capacités d'intégration, d’interaction et d’implication des femmes marocaines immigrées en France, par le biais d’une information de qualité et d’un accompagnement effectif et efficace", selon les initiateurs. C’est dans ce cadre que Leila Aboufroui, sociologue, à l’université de Nanterre, animera aujourd’hui une conférence se rapportant aux "Enjeux et perspectives pour l’éducation des jeunes filles". Pour sa part, Nisserine Zahoud, juriste au barreau de Lille, interviendra sur la problématique des "femmes immigrées, Code de la famille et conventions bilatérales".
La journée du samedi 30 mars sera riche en rencontres. Des intellectuels de haut niveau ont fait le déplacement et débattront de diverses questions ayant trait au thème principal. Ainsi Abdallah Saaf, ex-ministre marocain de l’Enseignement supérieur, directeur du centre de recherche en économie sociale et Hélène Bartheleu, sociologue, université de Tours ouvriront le bal en animant ensemble une conférence sur "l’historique de l’immigration de la femme marocaine Causes et facteurs du phénomène : défis et opportunités ". Quant à Khadija Rouissi, députée, première vice-présidente de la chambre des représentants du Maroc, elle a choisi de débattre de la problématique des « femmes et vie publique: Paroles de femmes ». Et c’est Naima Charaï, vice-présidente de la région d’Aquitaine, présidente du conseil d’administration de l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (ACSE) qui partagera avec elle cette tâche.
Par ailleurs, ces deux journées seront marquées par les témoignages de femmes aux parcours atypiques telles que l’artiste peintre, Rabia Qotbi et la femme rappeur Tata Milouda sans oublier les femmes politiques(adjointes aux maires) franco-marocaines et les Femmes chefs d’entreprise issues de l’immigration de la région centre. Pour clore ces deux journées, une soirée artistique verra la participation de Zahra Hindi et du groupe musical Al Qantara de Bourges. L’occasion également d’honorer cinq profils féminins aux parcours réussis de la région centre qui se verront remettre des fibules en argent. Les catégories ciblées sont au nombre de 5 : "insertion sociale", "action politique", "entrepreneuriat", " action associative", "art et culture".
Cette manifestation, initiée par le consulat général du Royaume du Maroc à Orléans, s'inscrit dans le cadre d'une série d’activités culturelles, d'échanges, auxquels adhèrent les membres de la communauté marocaine, fortement impliqués, du reste, dans le développement local. Ils sont également animés par un souci de "rapprochement et d'une meilleure connaissance mutuelle" avec les autres communautés.
Le colloque, qui connaîtra la participation des femmes d’origine marocaine, œuvrant dans le domaine du développement humain, ainsi que des femmes chefs d’entreprises et des diplomates, élues et députées, est organisé en partenariat avec le ministère délégué chargé des Marocains résidant à l'étranger, et le Centre national d’information sur les droits des femmes et des familles (CIDFF) à Orléans .
Quant au thème choisi pour cet événement "Double culture au féminin : défis et opportunités ", il vise notamment à "renforcer les capacités d'intégration, d’interaction et d’implication des femmes marocaines immigrées en France, par le biais d’une information de qualité et d’un accompagnement effectif et efficace", selon les initiateurs. C’est dans ce cadre que Leila Aboufroui, sociologue, à l’université de Nanterre, animera aujourd’hui une conférence se rapportant aux "Enjeux et perspectives pour l’éducation des jeunes filles". Pour sa part, Nisserine Zahoud, juriste au barreau de Lille, interviendra sur la problématique des "femmes immigrées, Code de la famille et conventions bilatérales".
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