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« Amazighes. Cycles, parures, motifs » est l’intitulé d’une exposition que vient de lancer le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem) de Marseille, qui propose jusqu’au 2 novembre une exploration inédite de la culture amazighe marocaine à travers 150 objets et œuvres allant du XIXe siècle à nos jours.
Fruit d’une collaboration entre le Mucem et la Fondation Jardin Majorelle de Marrakech, «qui ont su conjuguer leurs compétences, leurs collections et leurs savoir-faire pour offrir une vision plurielle et enrichie du monde amazigh», cette exposition se veut une invite à la découverte d’une culture qui «remonte au moins au Néolithique, et s’est étendue sur un large territoire d’Afrique du Nord, depuis l’Egypte jusqu’au Maroc et même jusqu’aux aux îles Canaries», indique-t-on auprès du Musée national français consacré aux cultures de l’Europe et de la Méditerranée.
Confié à l’architecte et anthropologue marocaine Salima Naji et au directeur des musées du Jardin Majorelle Alexis Sornin, le commissariat de l’exposition, précise-t-on, permet d’ouvrir les collections marocaines de Marrakech à d’autres territoires, explorant «la richesse et la diversité des symboles amazighs».
Partant du constat qu’«aujourd’hui une modernité s’empare de ces répertoires culturels, en les replaçant dans une dynamique de transmission et de dialogue plutôt que dans une logique de rupture et de disparition», les commissaires Salima Naji et Alexis Sornin expliquent, en présentation de l’exposition, avoir cherché à mettre en avant des «initiatives valorisant la transmission des savoirs».
Ils citent notamment les travaux de Myriem Naji qui, à travers ses films, «documente et partage des techniques artisanales pour les rendre accessibles au public» ou encore d’Amina Agueznay qui collabore avec des tisseuses pour «créer un répertoire de signes intégré à son œuvre», notant que le fait de présenter des tatouages contemporains et des écritures actuelles en résonance avec des pratiques ancestrales permet d’«illustrer la continuité et l’adaptation de ces traditions».
Environ 150 objets et œuvres du XIXe siècle à nos jours, ainsi que quelques pièces archéologiques, sont présentés dans cette exposition parmi lesquels des bijoux, céramiques, textiles, vanneries, sculptures, outils, photographies, vidéos, installations, «archives appartenant principalement aux collections du Musée Pierre Bergé des arts berbères de la Fondation Jardin Majorelle à Marrakech et à celles du Mucem, mais aussi à des collections publiques et privées canariennes, marocaines et françaises», selon la même source.
Fruit d’une collaboration entre le Mucem et la Fondation Jardin Majorelle de Marrakech, «qui ont su conjuguer leurs compétences, leurs collections et leurs savoir-faire pour offrir une vision plurielle et enrichie du monde amazigh», cette exposition se veut une invite à la découverte d’une culture qui «remonte au moins au Néolithique, et s’est étendue sur un large territoire d’Afrique du Nord, depuis l’Egypte jusqu’au Maroc et même jusqu’aux aux îles Canaries», indique-t-on auprès du Musée national français consacré aux cultures de l’Europe et de la Méditerranée.
Confié à l’architecte et anthropologue marocaine Salima Naji et au directeur des musées du Jardin Majorelle Alexis Sornin, le commissariat de l’exposition, précise-t-on, permet d’ouvrir les collections marocaines de Marrakech à d’autres territoires, explorant «la richesse et la diversité des symboles amazighs».
Partant du constat qu’«aujourd’hui une modernité s’empare de ces répertoires culturels, en les replaçant dans une dynamique de transmission et de dialogue plutôt que dans une logique de rupture et de disparition», les commissaires Salima Naji et Alexis Sornin expliquent, en présentation de l’exposition, avoir cherché à mettre en avant des «initiatives valorisant la transmission des savoirs».
Ils citent notamment les travaux de Myriem Naji qui, à travers ses films, «documente et partage des techniques artisanales pour les rendre accessibles au public» ou encore d’Amina Agueznay qui collabore avec des tisseuses pour «créer un répertoire de signes intégré à son œuvre», notant que le fait de présenter des tatouages contemporains et des écritures actuelles en résonance avec des pratiques ancestrales permet d’«illustrer la continuité et l’adaptation de ces traditions».
Environ 150 objets et œuvres du XIXe siècle à nos jours, ainsi que quelques pièces archéologiques, sont présentés dans cette exposition parmi lesquels des bijoux, céramiques, textiles, vanneries, sculptures, outils, photographies, vidéos, installations, «archives appartenant principalement aux collections du Musée Pierre Bergé des arts berbères de la Fondation Jardin Majorelle à Marrakech et à celles du Mucem, mais aussi à des collections publiques et privées canariennes, marocaines et françaises», selon la même source.