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les liens
indéfectibles
et sacrés qui les lient à la mère
patrie ne pourront jamais être
défaits ni par
Ban Ki-moon ni par qui que ce soit
Ce dimanche 13 mars, plus de 3 millions de Marocains se sont donné rendez-vous dans les principales voies passantes de la capitale. De Bab Chellah à Bab Rouah, de l’Agdal au cimetière des martyrs, les grandes artères Rabat étaient noires de monde. Des manifestants sont venus de toutes les régions, de toutes les provinces, de toutes les villes et agglomérations aussi lointaines soient-elles. Ils sont venus par car, en avion, en train et même, à pied.
De la région de Laâyoune Sakia El-Hamra, 10 avions et 10 cars ont acheminé les représentants de Tarfaya, Smara, Boujdour et Laâyoune.
Quelque 2.000 femmes et hommes appartenant à toutes les couches de la société, sont venus exprimer leur colère contre celui qui, par mégarde, méprise ou, peut être par cupidité, a fait fi de la neutralité que lui impose son statut de secrétaire de la plus haute instance de l’ONU et de la plus prestigieuse des organisations internationales, en mettant en doute la souveraineté du Maroc sur ses provinces du Sud.
Marchant aux côtés de leurs concitoyens venus des autres régions, des Marocains venus de Dakhala, ont crié à la face du monde, leur colère contre un homme, en l’occurrence Ban Ki-moon, qui a eu l’outrecuidance de désigner le Sahara comme territoire occupé. En totale symbiose et la main dans la main, des Marocains du Nord et du Sud ont exprimé leur rejet de cet homme qui, jusqu’au terme de son mandat, a su cacher, hypocritement, sa partialité et l’animosité qu’il nourrit à l’égard du Maroc.
De Laâyoune et Dakhla, des élus, chioukhs et notables sont venus représenter cette écrasante majorité de la population sahraouie qui les a démocratiquement élus par un suffrage universel libre et transparent que la minorité vivant dans les camps de Tindouf sous le joug d’une poignée de lascars entretenus, entraînés et téléguidés par le dernier bastion de généraux algériens vivant encore à l’ère de la guerre froide, ne pourra nullement prétendre un jour voir organisé dans les camps de Tindouf.
Ils sont venus rappeler qu’ils demeuraient liés par la Beiaa établie par leurs ancêtres avec le Trône alaouite qu’ils renouvellent année après année, et qui ne peut être violée, ni par Ban Ki-mon, ni par un quelque ennemi du Maroc. Ils sont originaires des principales villes du Sahara où le Souverain vient de lancer des projets de développement durable que nous envie le plus grand exportateur de pétrole et de gaz maghrébin, à savoir l’Algérie... Ils sont venus des métropoles du Sud marocain où la régionalisation avancée commence à prendre forme dans l’objectif d’une autonomie qui permettra aux habitants de nos provinces sahariennes de prendre leurs affaires en main sous la souveraineté d’une mère patrie démocratique, riche de sa diversité et dont la marche vers le progrès constitue la cible privilégiée des ennemis de notre intégrité territoriale. Ils sont aussi venus clamer à la face du monde que les déclarations de Ban Ki-moon et les tentatives fallacieuses des autres affidés de l’Algérie, ne feront que confirmer les Marocains, de Tanger à Lagouira, dans la justesse de leur cause et leur détermination de la défendre et de consolider leur unité et leur attachement au Trône alaouite.