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Sur fond d'onde de choc #MeToo, cette 68e édition de la Berlinale, le premier grand Festival de cinéma de l'année en Europe, a largement mis à l'honneur les femmes à l'écran, malgré la présence de seulement quatre réalisatrices en compétition sur 19 films. "Je crois que cette semaine (de festival) l'a montré par les films présentés, réalisés par des femmes formidables et sur des femmes formidables, qui sont un peu différentes", a résumé samedi soir le directeur de la Berlinale, Dieter Kosslick, qui fera en 2019 son dernier festival à ce poste. "On riposte et je pense que c'est très bien comme cela", a-t-il ajouté dans une allusion au débat autour des mauvais traitements et cas de harcèlement subies par les actrices dans le monde du cinéma. La célébration des femmes s'est vue aussi avec "Las Herederas" de Marcelo Martinessi, premier film de ce réalisateur du Paraguay et premier film aussi en compétition venant de ce pays. Avec son film d'animation "L'île aux chiens", Wes Anderson est reparti avec l'Ours du meilleur réalisateur. C'est l'acteur Bill Murray, une des voix du film, qui est venu chercher le prix. "Je n'aurais jamais cru qu'en jouant un chien, je repartirai avec un Ours", a-t-il plaisanté.
Enfin, l'acteur français Anthony Bajon, 23 ans, a été sacré meilleur acteur pour "La prière" de Cédric Kahn, sur d'anciens toxicomanes en quête de rédemption.