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Cette politique provoque une contraction de l'activité des secteurs manufacturier et agricole, un chômage élevé «alarmant» et des difficultés sociales qui dureront même en cas d'accord de paix israélo-palestinien, estime l'institution monétaire. Israël restreint fortement les déplacements des Palestiniens depuis la deuxième Intifada qui a éclaté en 2000. Près du quart des habitants de Cisjordanie et de la Bande de Gaza sont sans emploi, ce qui a fait plonger tous les secteurs productifs.
«La part des exportations dans l'économie palestinienne a constamment décliné depuis 1994 (entrée en vigueur des accords d'Oslo) pour tomber à 7% en 2011, un des taux les plus faibles au monde», note le rapport.
«Plus la situation de restriction actuelle dure, plus il sera coûteux et long de rétablir la capacité de production de l'économie palestinienne», prévient la Banque mondiale.










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