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La disparition du grand écrivain et chercheur Bachir Kamari, décédé jeudi à Rabat des suite d’une longue maladie, est une grande perte pour la culture et la créativité au Maroc et dans le monde arabe, a affirmé l’Union des écrivains du Maroc (UEM). Dans un communiqué, en hommage posthume au défunt, l’UEM souligne que Bachir Kamari a été l’une des figures de proue du paysage culturel marocain contemporain, pour son illustre présence sur la scène culturelle, académique, critique et créative dans le Royaume, ajoutant que le défunt était connu pour ses larges connaissances, sa présence distinguée et sa contribution qualitative dans les foras et les événements culturels, critiques, littéraires, cinématographiques et des arts plastiques.
L’union a également rappelé que feu Kamari fut un passionné de la littérature depuis sa tendre enfance, sachant qu’il a interprété depuis le cycle collégiale des pièces théâtrales réalisées par son frère le poète Houssine Kamari, notant que le défunt s’est distingué au sein de l’UEM par sa vitalité et son dévouement reconnu au service de cette organisation et d’autres associations culturelles et artistiques nationales.
Titulaire d’un doctorat en 1987, feu Bachir Kamari, natif de Nador en 1951, était enseignant à la faculté des lettres à Kénitra et à Rabat. Il avait rejoint l’UEM en 1976 où il a occupé plusieurs postes au sein de son bureau central à différentes périodes. Il compte à son actif plusieurs écrits touchant à la critique littéraire et cinématographique, à la nouvelle, au théâtre, au roman et à la traduction.
L’union a également rappelé que feu Kamari fut un passionné de la littérature depuis sa tendre enfance, sachant qu’il a interprété depuis le cycle collégiale des pièces théâtrales réalisées par son frère le poète Houssine Kamari, notant que le défunt s’est distingué au sein de l’UEM par sa vitalité et son dévouement reconnu au service de cette organisation et d’autres associations culturelles et artistiques nationales.
Titulaire d’un doctorat en 1987, feu Bachir Kamari, natif de Nador en 1951, était enseignant à la faculté des lettres à Kénitra et à Rabat. Il avait rejoint l’UEM en 1976 où il a occupé plusieurs postes au sein de son bureau central à différentes périodes. Il compte à son actif plusieurs écrits touchant à la critique littéraire et cinématographique, à la nouvelle, au théâtre, au roman et à la traduction.