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Le Bureau politique de l’USFP a tenu, lundi, sa réunion hebdomadaire consacrée à l’examen des derniers développements sur la scène politique et organisationnelle et à la présentation, d’une part, des précédentes activités du parti aux niveaux national et régional, et d’autre part, des prochaines missions du parti.
Après évaluation du fonctionnement du parti et les missions confiées aux chargés du suivi aux niveaux régional et provincial, le Premier secrétaire, Driss Lachgar, a présenté un exposé dans lequel il est revenu sur les derniers développements politiques dans notre pays et la gestion gouvernementale qui n’est pas à la hauteur de la Constitution et ses répercussions sur les plans économique et social. Et ce, en l’absence de toute mesure concrète du gouvernement à court, moyen et long termes.
M.Lachgar a rappelé le flou qui entoure le projet du budget 2014 après que l’Exécutif a fait de 2012 et 2013 des années blanches, ce qui a accentué la crise dont l’impact a sérieusement affecté le quotidien des citoyens et citoyennes.
Le Premier secrétaire a poursuivi son exposé en présentant l’agenda des missions organisationnelles qui seront parachevées lors des deux prochaines semaines par la réunion du Bureau politique avec les secrétaires des régions et des provinces la fin de cette semaine, et la réunion avec les organisations de notre parti à l’étranger le 3 août prochain. Une grande partie de l’intervention du Premier secrétaire a été consacrée à ces deux réunions, vu l’importance de l’organisation partisane aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur, d’autant plus que notre pays passe par la phase des grands défis qui nécessitent des instruments idoines pour matérialiser nos décisions permettant d’y faire face, d’œuvrer pour la préservation des acquis et la consolidation des valeurs intellectuelles et politiques dans le cadre de la grande dynamique que connaît notre parti dans le sens de la coordination avec le mouvement national et de l’ouverture sur toutes les forces sociales, syndicales et associatives. Le Bureau politique a, par ailleurs, passé en revue le cafouillis continuel qui caractérise la gestion de la chose publique par le gouvernement culminé par le retrait du parti de l’Istiqlal et son retour à l’opposition, ce qui constitue un saut qualitatif dans l’élaboration des programmes communs et la coordination permanente entre l’USFP et le PI que nous avons initiée la semaine passée par un communiqué commun qui a eu de l’impact sur les derniers développements de l’actualité politique.
Après un débat fructueux sur les derniers développements dans notre pays et la perspective de l’action commune avec nos partenaires partisans, sociaux, associatifs et syndicaux ainsi que les moyens d’application des décisions de notre parti au niveau de nos organisations parallèles, le Bureau politique a enregistré l’acuité de la conjoncture actuelle, ce qui nécessite un suivi continu des derniers développements de la scène politique. Le B.P a attiré l’attention, à ce sujet, sur la gravité de la situation qui se caractérise par l’improvisation constante et injustifiée du chef du gouvernement concernant les grandes questions intéressant la chose publique, ce qui perturbe la situation politique, économique et sociale et mène le Maroc vers une voie sans issue.
Le B.P a examiné avec appréhension le fait que le chef du gouvernement poursuive son gel du document constitutionnel et les grandes perturbations au niveau des relations entre l’Exécutif et le Parlement en raison de l’atteinte portée au rôle du pouvoir législatif en matière de contrôle et de législation, ce qui impacte négativement l’image du Maroc au niveau constitutionnel, institutionnel et juridique.
Par ailleurs, le Bureau politique s’est penché sur la stratégie de coordination avec le parti de l’Istiqlal par le biais de la création de deux commissions. La première, interne, est chargée d’élaborer les feuilles de route de cette coordination sur tous les fronts, féminin, de jeunesse et au niveau de la direction du parti et de sa Commission administrative dans la perspective d’appliquer cela au niveau régional et provincial et la deuxième, une commission mixte regroupant les deux partis, a pour mission l’examen des propositions et l’élaboration de programmes communs.
Le Bureau politique s’est également penché sur le suivi du fonctionnement des mécanismes d’intégration de la famille ittihadie. A ce propos, il s’est félicité du déroulement souple du processus d’intégration marquant le Congrès régional de Tadla-Azilal qui est parvenu à intégrer dans ses structures dirigeantes après élections, des membres de la famille ittihadie dans le bureau régional. Ce congrès peut être considéré comme un modèle à suivre au niveau de l’ensemble des provinces et régions.
Le Bureau politique a salué également la contribution effective des femmes ittihadies, membres du BP et du secrétariat national aux travaux du congrès national des femmes ittihadies et la présence qualitative et productive des militantes de la famille ittihadie intégrée dans ledit congrès. Ce qui traduit les orientations du parti dans le sens de la modernité, la démocratie et l’égalité qui placent la femme au cœur de cette lutte. C’est ce qui a donné à ce conseil un élan particulier qui aura un impact en perspective du congrès des femmes ittihadies prévu vers la fin de l’année en cours.
Après évaluation du fonctionnement du parti et les missions confiées aux chargés du suivi aux niveaux régional et provincial, le Premier secrétaire, Driss Lachgar, a présenté un exposé dans lequel il est revenu sur les derniers développements politiques dans notre pays et la gestion gouvernementale qui n’est pas à la hauteur de la Constitution et ses répercussions sur les plans économique et social. Et ce, en l’absence de toute mesure concrète du gouvernement à court, moyen et long termes.
M.Lachgar a rappelé le flou qui entoure le projet du budget 2014 après que l’Exécutif a fait de 2012 et 2013 des années blanches, ce qui a accentué la crise dont l’impact a sérieusement affecté le quotidien des citoyens et citoyennes.
Le Premier secrétaire a poursuivi son exposé en présentant l’agenda des missions organisationnelles qui seront parachevées lors des deux prochaines semaines par la réunion du Bureau politique avec les secrétaires des régions et des provinces la fin de cette semaine, et la réunion avec les organisations de notre parti à l’étranger le 3 août prochain. Une grande partie de l’intervention du Premier secrétaire a été consacrée à ces deux réunions, vu l’importance de l’organisation partisane aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur, d’autant plus que notre pays passe par la phase des grands défis qui nécessitent des instruments idoines pour matérialiser nos décisions permettant d’y faire face, d’œuvrer pour la préservation des acquis et la consolidation des valeurs intellectuelles et politiques dans le cadre de la grande dynamique que connaît notre parti dans le sens de la coordination avec le mouvement national et de l’ouverture sur toutes les forces sociales, syndicales et associatives. Le Bureau politique a, par ailleurs, passé en revue le cafouillis continuel qui caractérise la gestion de la chose publique par le gouvernement culminé par le retrait du parti de l’Istiqlal et son retour à l’opposition, ce qui constitue un saut qualitatif dans l’élaboration des programmes communs et la coordination permanente entre l’USFP et le PI que nous avons initiée la semaine passée par un communiqué commun qui a eu de l’impact sur les derniers développements de l’actualité politique.
Après un débat fructueux sur les derniers développements dans notre pays et la perspective de l’action commune avec nos partenaires partisans, sociaux, associatifs et syndicaux ainsi que les moyens d’application des décisions de notre parti au niveau de nos organisations parallèles, le Bureau politique a enregistré l’acuité de la conjoncture actuelle, ce qui nécessite un suivi continu des derniers développements de la scène politique. Le B.P a attiré l’attention, à ce sujet, sur la gravité de la situation qui se caractérise par l’improvisation constante et injustifiée du chef du gouvernement concernant les grandes questions intéressant la chose publique, ce qui perturbe la situation politique, économique et sociale et mène le Maroc vers une voie sans issue.
Le B.P a examiné avec appréhension le fait que le chef du gouvernement poursuive son gel du document constitutionnel et les grandes perturbations au niveau des relations entre l’Exécutif et le Parlement en raison de l’atteinte portée au rôle du pouvoir législatif en matière de contrôle et de législation, ce qui impacte négativement l’image du Maroc au niveau constitutionnel, institutionnel et juridique.
Par ailleurs, le Bureau politique s’est penché sur la stratégie de coordination avec le parti de l’Istiqlal par le biais de la création de deux commissions. La première, interne, est chargée d’élaborer les feuilles de route de cette coordination sur tous les fronts, féminin, de jeunesse et au niveau de la direction du parti et de sa Commission administrative dans la perspective d’appliquer cela au niveau régional et provincial et la deuxième, une commission mixte regroupant les deux partis, a pour mission l’examen des propositions et l’élaboration de programmes communs.
Le Bureau politique s’est également penché sur le suivi du fonctionnement des mécanismes d’intégration de la famille ittihadie. A ce propos, il s’est félicité du déroulement souple du processus d’intégration marquant le Congrès régional de Tadla-Azilal qui est parvenu à intégrer dans ses structures dirigeantes après élections, des membres de la famille ittihadie dans le bureau régional. Ce congrès peut être considéré comme un modèle à suivre au niveau de l’ensemble des provinces et régions.
Le Bureau politique a salué également la contribution effective des femmes ittihadies, membres du BP et du secrétariat national aux travaux du congrès national des femmes ittihadies et la présence qualitative et productive des militantes de la famille ittihadie intégrée dans ledit congrès. Ce qui traduit les orientations du parti dans le sens de la modernité, la démocratie et l’égalité qui placent la femme au cœur de cette lutte. C’est ce qui a donné à ce conseil un élan particulier qui aura un impact en perspective du congrès des femmes ittihadies prévu vers la fin de l’année en cours.
