-
Pays-Bas : Hommage aux soldats marocains tombés lors de la Bataille de Kapelle
-
Moussem de Tan-Tan : La richesse de la culture nomade célébrée lors d’un carnaval haut en couleur
-
Industrie céramique : Omar Chaabi prend la tête de l’APIC
-
Des experts discutent des défis et avancées en cybersécurité et IA
Parmi les moments forts de cet évènement, la visite de Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa du pavillon du CCME, à l’ouverture du Salon, jeudi 6 février et l’annonce d’un partenariat culturel entre le ministère de la Culture et le CCME en faveur des Marocains du monde.
Une soirée en hommage à feu Abdelhamid El Jamri et Faouzi Lakhdar Ghazal, membres du Conseil a été organisée samedi 15 février en présence notamment d’El Hassan Abyaba, ministre de la Culture, de la Jeunesse et des Sports, porte-parole du gouvernement, du secrétaire général du Conseil national des droits de l’Homme, du président du Conseil français du culte musulman et du secrétaire général de la Fondation Mohammed VI des oulémas africains.
Dix jours de débats répartis en 30 rencontres au sujet de l’image du Maroc à l’extérieur et son impact sur les Marocains du monde. Notant la difficulté de construire une image positive face aux stéréotypes ancrés dans l’imaginaire collectif, le CCME a tenté de comprendre la complexité des différentes composantes de cette image reçue et perçue et d’apporter des éléments de réponse pour la corriger.
Dans ses représentations, Chaima Fatihi a affirmé lors de la présentation de son roman « Vous n’y arriverez jamais : lettre ouverte d’une musulmane italienne aux terroristes », qu’après les attentats du Bataclan « il a fallu expliquer que nous sommes en tant que musulmans fondamentalement contre le terrorisme» et déconstruire ces images.
Jean-Pierre Chevènement a déclaré lors de la séance inaugurale sur le thème « Maroc, Afrique et monde arabe : Le Maroc pont entre les cultures » qu’il faut voir la migration dans sa diversité et que le Maroc a un rôle de trait d’union à jouer entre l’Europe et l’Afrique. Et d’ajouter que « pour les Marocains, comme pour les Français, il faut relever le défi du développement de l’Afrique pour arriver à retrouver un équilibre … Il faut que les gouvernements se concertent et travaillent ensemble, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui ».