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L’écrivaine franco-marocaine Fatema Ouakka a présenté, samedi dernier à Fès, son nouveau roman “Tunaruz, la porteuse d’espoir” qui vient de paraître en France à la maison d’édition “L’Harmattan”.
Ce roman qui est un hommage à la petite fille marocaine du Moyen Atlas (porteuse d’espoir), n’est que le reflet de dizaines de témoignages sans avoir la prétention d’être un roman d’apprentissage, indique l’écrivaine dans un communiqué parvenu à la MAP.
“Mon but est de nourrir à mon tour chez d’autres petites filles l’espoir d’un avenir meilleur débarrassé des cauchemars produits par la volonté de domination. Je souhaite semer dans leur tête des rêves en couleur, des rêves de liberté. Je veux leur donner confiance en elles-mêmes pour qu’elles refusent le funeste désir d’être dominées par des hommes qui se croient d’autant plus maîtres de leurs femmes qu’ils sont eux-mêmes dominés par des plus puissants qu’eux”, a-t-elle souligné.
Présidente de l’Association, «Ouakka, peintures en mouvement», Fatema Ouakka est native de la localité d’Aït Sadden (région de Fès). Diplômée en psychologie-physiologie de l’Institut Pierre et Marie-Curie de Paris après des études à l’Ecole des Beaux-Arts de Versailles, l’artiste est membre de l’Association internationale des arts plastiques de l’Unesco et du Conseil national français des arts plastiques.
Elle a obtenu plusieurs prix et distinctions dont la médaille d’argent de la ville de Paris, la médaille d’or de la ville d’Arles et le prix « Bosco Tatsuya Hirata » (Japon) et les prix italiens « Leonardo da Vinci » et « Martin Luther King ».
Elle a obtenu plusieurs prix et distinctions dont la médaille d’argent de la ville de Paris, la médaille d’or de la ville d’Arles et le prix « Bosco Tatsuya Hirata » (Japon) et les prix italiens « Leonardo da Vinci » et « Martin Luther King ».