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Après une année jalonnée de trophées à travers les pays où l’art de la photographie fait école, l’artiste photographe marocain est parti, cette fois vers l’Afrique. Il vient, en effet, d’accrocher ses œuvres artistiques, du 25 au 27 août à Abidjan, aux cimaises du 1er Salon de la photographie africaine "O. Salon".
Baznani figurait parmi les artistes annoncés par la directrice de l’événement, Valérie Dussy, qui s’exprimait lors d’une conférence de presse consacrée à la déclinaison des grands axes et de la particularité de cette manifestation culturelle et artistique placée sous le thème : "Il était une fois… la photo en Afrique".
La directrice a précisé, à cette occasion, que les participants entendent ainsi fêter le patrimoine commun entre Africains, à travers des oeuvres d’art qui font montre des richesses culturelles, naturelles et humaines du continent.
Natif de Marrakech, Achraf Baznani est un artiste, réalisateur et photographe autodidacte. Il a réalisé plusieurs courts-métrages et documentaires, dont "Marche" (2006), "Les oubliés" (2007) ou encore "L'immigrant" (2007) pour lequel il a reçu plusieurs prix nationaux.
Artiste autodidacte, Achraf Baznani n'a pas d'éducation formelle en photographie. Il a adopté les traditions du surréalisme avec son imagerie entièrement sauvage, imaginative et très peu pratique. Parmi ses scénarios inventifs, de petites figures humaines, dont l'artiste lui-même, apparaissent piégés dans des bocaux en verre ou de la taille d'une lentille de la caméra.
Dans d'autres ouvres, Baznani dissèque plus ou moins son corps, comme par exemple, dans l'une, il retire proprement son cerveau de son crâne, ou dans une autre, il se tord la main, un peu comme si elle était une ampoule. Un solide sens de l'humour et d'émerveillement se ressent à travers ces ouvres, et en tant que tel, l'art de Baznani offre une prise surréaliste sur l'expérience de la vie à l'ère numérique.
Baznani figurait parmi les artistes annoncés par la directrice de l’événement, Valérie Dussy, qui s’exprimait lors d’une conférence de presse consacrée à la déclinaison des grands axes et de la particularité de cette manifestation culturelle et artistique placée sous le thème : "Il était une fois… la photo en Afrique".
La directrice a précisé, à cette occasion, que les participants entendent ainsi fêter le patrimoine commun entre Africains, à travers des oeuvres d’art qui font montre des richesses culturelles, naturelles et humaines du continent.
Natif de Marrakech, Achraf Baznani est un artiste, réalisateur et photographe autodidacte. Il a réalisé plusieurs courts-métrages et documentaires, dont "Marche" (2006), "Les oubliés" (2007) ou encore "L'immigrant" (2007) pour lequel il a reçu plusieurs prix nationaux.
Artiste autodidacte, Achraf Baznani n'a pas d'éducation formelle en photographie. Il a adopté les traditions du surréalisme avec son imagerie entièrement sauvage, imaginative et très peu pratique. Parmi ses scénarios inventifs, de petites figures humaines, dont l'artiste lui-même, apparaissent piégés dans des bocaux en verre ou de la taille d'une lentille de la caméra.
Dans d'autres ouvres, Baznani dissèque plus ou moins son corps, comme par exemple, dans l'une, il retire proprement son cerveau de son crâne, ou dans une autre, il se tord la main, un peu comme si elle était une ampoule. Un solide sens de l'humour et d'émerveillement se ressent à travers ces ouvres, et en tant que tel, l'art de Baznani offre une prise surréaliste sur l'expérience de la vie à l'ère numérique.