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Une conférence de presse pour présenter le dernier projet de l'Association Chouala pour l'éducation et la culture (ACEC) intitulé : «Contre la corruption, pour une société d'égalité et de transparence » a été organisée mercredi dernier à Casablanca.
Le but du projet dont le budget estimatif total avoisine les 250.000 euros et qui sera réalisé avec l'aide financière de l'Union européenne est de « promouvoir les valeurs de la transparence, de l'égalité, et de l'équité sociale » comme le révèle l'ACEC dans son communiqué. L'Association Chouala espère donc augmenter la prise de conscience chez les jeunes de 17 à 25 ans pour la prévention et la lutte contre la corruption dans la société marocaine à travers 14 régions du Royaume. La cible ainsi constituée représenterait donc 13.800 jeunes directement sensibilisés à cette cause et une cible indirecte dépassant les 50.000 personnes.
Les activités prévues par le projet comprennent notamment l'organisation de diverses formations destinées à sensibiliser les jeunes aux méfaits et aux conséquences de la corruption, la création de forum des jeunes de la lutte contre ce fléau pour leur permettre de s'exprimer et de débattre de ce sujet ou encore l'élaboration et la production d'outils pour communiquer les objectifs et les messages du projet. Un site Web pour la transparence et destiné principalement aux jeunes sera également créé et une enquête sur «les jeunes et la corruption » sera menée à une échelle nationale.
Le projet prévoit également l'organisation de 14 tables rondes dans les régions ciblées sur un sujet révélé par les résultats de l'enquête ainsi que 4 universités régionales sous le thème de l'égalité des chances et sa relation avec le développement.
Une rencontre nationale sera par ailleurs organisée en faveur des bénéficiaires du projet pour évaluer leurs participations avec l'élaboration d'une charte nationale des jeunes contre la corruption et un document de capitalisation du projet sera élaboré puis diffusé.
L'ACEC contribue grâce à ce projet à la réforme du processus démocratique et au renforcement de l'Etat de droit et fait un premier pas dans la sensibilisation de la jeunesse marocaine au problème de la corruption qui ronge le pays dans l'optique d'éliminer définitivement ce fléau de la société.
Khénifra planche sur l’école publique
Sous le thème «Renouvellement de confiance en l'école publique », la section Achouala pour l'éducation et la culture à Khénifra organise au centre de formation une rencontre pédagogique avec la participation de plusieurs chercheurs, professeurs et acteurs associatifs. Ainsi Mekki Nached présentera un exposé sur «Le rôle de l'enseignant dans le renouvellement de confiance», Mostafa Zamhani exposera sur «L'expérience de l'enseignement préscolaire dans l'enseignement public.» De son côté, Saadia Sarfi interviendra sur le thème de «L'école publique et la citoyenneté » alors que l'intervention de Akkaoui Aziz portera sur «L'école publique et les chantiers du développement humain.
Le but du projet dont le budget estimatif total avoisine les 250.000 euros et qui sera réalisé avec l'aide financière de l'Union européenne est de « promouvoir les valeurs de la transparence, de l'égalité, et de l'équité sociale » comme le révèle l'ACEC dans son communiqué. L'Association Chouala espère donc augmenter la prise de conscience chez les jeunes de 17 à 25 ans pour la prévention et la lutte contre la corruption dans la société marocaine à travers 14 régions du Royaume. La cible ainsi constituée représenterait donc 13.800 jeunes directement sensibilisés à cette cause et une cible indirecte dépassant les 50.000 personnes.
Les activités prévues par le projet comprennent notamment l'organisation de diverses formations destinées à sensibiliser les jeunes aux méfaits et aux conséquences de la corruption, la création de forum des jeunes de la lutte contre ce fléau pour leur permettre de s'exprimer et de débattre de ce sujet ou encore l'élaboration et la production d'outils pour communiquer les objectifs et les messages du projet. Un site Web pour la transparence et destiné principalement aux jeunes sera également créé et une enquête sur «les jeunes et la corruption » sera menée à une échelle nationale.
Le projet prévoit également l'organisation de 14 tables rondes dans les régions ciblées sur un sujet révélé par les résultats de l'enquête ainsi que 4 universités régionales sous le thème de l'égalité des chances et sa relation avec le développement.
Une rencontre nationale sera par ailleurs organisée en faveur des bénéficiaires du projet pour évaluer leurs participations avec l'élaboration d'une charte nationale des jeunes contre la corruption et un document de capitalisation du projet sera élaboré puis diffusé.
L'ACEC contribue grâce à ce projet à la réforme du processus démocratique et au renforcement de l'Etat de droit et fait un premier pas dans la sensibilisation de la jeunesse marocaine au problème de la corruption qui ronge le pays dans l'optique d'éliminer définitivement ce fléau de la société.
Khénifra planche sur l’école publique
Sous le thème «Renouvellement de confiance en l'école publique », la section Achouala pour l'éducation et la culture à Khénifra organise au centre de formation une rencontre pédagogique avec la participation de plusieurs chercheurs, professeurs et acteurs associatifs. Ainsi Mekki Nached présentera un exposé sur «Le rôle de l'enseignant dans le renouvellement de confiance», Mostafa Zamhani exposera sur «L'expérience de l'enseignement préscolaire dans l'enseignement public.» De son côté, Saadia Sarfi interviendra sur le thème de «L'école publique et la citoyenneté » alors que l'intervention de Akkaoui Aziz portera sur «L'école publique et les chantiers du développement humain.
