Autres articles
-
Clôture de la 17ème édition du Festival Handifilm
-
Le rôle des ciné-clubs dans l'animation culturelle au centre de la 13ème Université cinématographique d'El Jadida
-
Le Maroc, destination de choix des productions cinématographiques étrangères
-
Ouverture à Settat de la 16ème édition du Festival national du film d’amateurs
Le film "L’Esclave" ou "The Slave" de son réalisateur marocain Abdelilah El Jouahri a été primé, mercredi, au Festival international du film de Kazan "Altyn Minbar", qui s’est déroulé du 6 au 11 septembre dans la capitale du Tatarstan, en Russie.
Lauréat de plusieurs récompenses internationales, le long-métrage a reçu le prestigieux prix du "dialogue des cultures entre les pays islamiques", une distinction qui a également été décernée au film "Le paradis est sous les pieds de la mère" du réalisateur kirghize Ruslan Akun.
"L’Esclave" traite des relations au travail et de la place prépondérante qu’elles occupent dans l’existence individuelle et collective des personnes et des sociétés et se penche aussi sur la hiérarchie, le capitalisme, la lutte des classes, la déshumanisation et l’esclavagisme au travail.
Dans une déclaration à la MAP à cette occasion, M. Jaouhari s’est dit fier de la 12è distinction internationale remportée par le film, y voyant une consécration de la place du cinéma marocain en Asie en général et en Russie en particulier.
"Le 12e prix international décerné à l’Esclave par un grand festival comme celui de Kazan est un motif de fierté pour moi en tant que réalisateur et Marocain. J’offre cette distinction à tous les Marocains et à SM le Roi Mohammed VI", a-t-il dit, en mettant en avant la sage politique du Souverain en faveur du cinéma marocain.
Ce prix consacre la place du Maroc et des Marocains en Asie en général et en Fédération de Russie en particulier, d’autant plus que le cinéma marocain n’est pas assez représenté en Asie contrairement à l’Europe, l’Amérique du Nord et l’Afrique, a fait remarquer le réalisateur marocain.
Dans une déclaration lue en son nom par le réalisateur marocain Jaouad Babili lors de la cérémonie de clôture et de remise des prix, M. El Jaouhari a mis en avant le rôle du cinéma en tant que "vecteur de paix et d'harmonie entre les peuples du monde".
"Ce prix me motivera à réaliser d'autres films avec des messages qui appellent à la cohésion des cultures, en particulier celles des pays islamiques, et à exprimer l'unité de nos nations musulmanes et leur grand message", a poursuivi le réalisateur marocain, dont le prix a été reçu en son nom par M. Babili.
Pour sa 20e édition, le festival a vu la participation de cinéastes de 40 pays et a présenté une sélection variée de 144 films, dont 51 oeuvres cinématographiques en compétition officielle dans les catégories "Long-métrage", "Court-métrage", "Long documentaire", "Courts documentaire" et "Compétition nationale", qui inclut des œuvres réalisées au Tatarstan.
Le festival, également connu sous le nom de "Festival international du film musulman de Kazan", se tient depuis 2005. Il a pour mission de favoriser l'échange d'expériences entre les professionnels du monde de la culture et des arts de Russie et des pays musulmans, en mettant en avant les valeurs humaines, spirituelles et morales ainsi que les traditions culturelles illustrées dans les réalisations de cinéastes musulmans et d’autres confessions.
L’événement, qui a pour devise "Vers le dialogue des cultures à travers la culture du dialogue", a été fondé par le Conseil des muftis de Russie, l'Agence fédérale pour la culture et la cinématographie de Russie et le ministère de la Culture du Tatarstan avec le soutien du président de la république du Tatarstan.
Lauréat de plusieurs récompenses internationales, le long-métrage a reçu le prestigieux prix du "dialogue des cultures entre les pays islamiques", une distinction qui a également été décernée au film "Le paradis est sous les pieds de la mère" du réalisateur kirghize Ruslan Akun.
"L’Esclave" traite des relations au travail et de la place prépondérante qu’elles occupent dans l’existence individuelle et collective des personnes et des sociétés et se penche aussi sur la hiérarchie, le capitalisme, la lutte des classes, la déshumanisation et l’esclavagisme au travail.
Dans une déclaration à la MAP à cette occasion, M. Jaouhari s’est dit fier de la 12è distinction internationale remportée par le film, y voyant une consécration de la place du cinéma marocain en Asie en général et en Russie en particulier.
"Le 12e prix international décerné à l’Esclave par un grand festival comme celui de Kazan est un motif de fierté pour moi en tant que réalisateur et Marocain. J’offre cette distinction à tous les Marocains et à SM le Roi Mohammed VI", a-t-il dit, en mettant en avant la sage politique du Souverain en faveur du cinéma marocain.
Ce prix consacre la place du Maroc et des Marocains en Asie en général et en Fédération de Russie en particulier, d’autant plus que le cinéma marocain n’est pas assez représenté en Asie contrairement à l’Europe, l’Amérique du Nord et l’Afrique, a fait remarquer le réalisateur marocain.
Dans une déclaration lue en son nom par le réalisateur marocain Jaouad Babili lors de la cérémonie de clôture et de remise des prix, M. El Jaouhari a mis en avant le rôle du cinéma en tant que "vecteur de paix et d'harmonie entre les peuples du monde".
"Ce prix me motivera à réaliser d'autres films avec des messages qui appellent à la cohésion des cultures, en particulier celles des pays islamiques, et à exprimer l'unité de nos nations musulmanes et leur grand message", a poursuivi le réalisateur marocain, dont le prix a été reçu en son nom par M. Babili.
Pour sa 20e édition, le festival a vu la participation de cinéastes de 40 pays et a présenté une sélection variée de 144 films, dont 51 oeuvres cinématographiques en compétition officielle dans les catégories "Long-métrage", "Court-métrage", "Long documentaire", "Courts documentaire" et "Compétition nationale", qui inclut des œuvres réalisées au Tatarstan.
Le festival, également connu sous le nom de "Festival international du film musulman de Kazan", se tient depuis 2005. Il a pour mission de favoriser l'échange d'expériences entre les professionnels du monde de la culture et des arts de Russie et des pays musulmans, en mettant en avant les valeurs humaines, spirituelles et morales ainsi que les traditions culturelles illustrées dans les réalisations de cinéastes musulmans et d’autres confessions.
L’événement, qui a pour devise "Vers le dialogue des cultures à travers la culture du dialogue", a été fondé par le Conseil des muftis de Russie, l'Agence fédérale pour la culture et la cinématographie de Russie et le ministère de la Culture du Tatarstan avec le soutien du président de la république du Tatarstan.