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L'Agence mondiale antidopage (AMA) a décidé de lever les sanctions imposées à la Tunisie suite à la confirmation de la conformité du pays aux normes internationales, a annoncé le ministère de la Jeunesse et des Sports tunisien.
L'AMA avait imposé des sanctions à la Tunisie, déclarant que le pays était incapable de mettre pleinement en œuvre la version 2021 du code mondial antidopage dans son système juridique, lui interdisant d'organiser des compétitions sportives internationales et de participer aux Jeux olympiques de Paris 2024.
Son drapeau ne pourra plus être hissé lors des événements sportifs internationaux jusqu’à la réintégration de l’Agence nationale antidopage tunisienne, dont l’organisation administrative et financière exigée par l’AMA ainsi que les modalités de fonctionnement viennent d'entrer en vigueur.
La décision de l’AMA intervient quelques jours après le scandale de la dissimulation du drapeau tunisien, lors d'une compétition organisée par la Fédération tunisienne de natation. Le drapeau a été caché par un bout de tissu pour se conformer aux sanctions de l'Agence mondiale antidopage, suscitant ainsi une vive controverse dans le pays.
En conséquence, le ministère des Sports a décidé la dissolution du bureau de la Fédération de natation et le limogeage d'autres responsables sportifs.
Saisie de l’affaire, la justice ouvre une enquête et décide de poursuivre neuf personnes, dont le président de la Fédération tunisienne de natation et le chef de l'agence tunisienne antidopage, placés tous les deux en garde à vue.
Réagissant au développement de l’affaire, l'AMA a exprimé sa "préoccupation profonde" après l'annonce de l'arrestation de son représentant en Tunisie, réclamant sa "libération immédiate et inconditionnelle" et "l'abandon de toutes les accusations portées contre lui. »
L'AMA avait imposé des sanctions à la Tunisie, déclarant que le pays était incapable de mettre pleinement en œuvre la version 2021 du code mondial antidopage dans son système juridique, lui interdisant d'organiser des compétitions sportives internationales et de participer aux Jeux olympiques de Paris 2024.
Son drapeau ne pourra plus être hissé lors des événements sportifs internationaux jusqu’à la réintégration de l’Agence nationale antidopage tunisienne, dont l’organisation administrative et financière exigée par l’AMA ainsi que les modalités de fonctionnement viennent d'entrer en vigueur.
La décision de l’AMA intervient quelques jours après le scandale de la dissimulation du drapeau tunisien, lors d'une compétition organisée par la Fédération tunisienne de natation. Le drapeau a été caché par un bout de tissu pour se conformer aux sanctions de l'Agence mondiale antidopage, suscitant ainsi une vive controverse dans le pays.
En conséquence, le ministère des Sports a décidé la dissolution du bureau de la Fédération de natation et le limogeage d'autres responsables sportifs.
Saisie de l’affaire, la justice ouvre une enquête et décide de poursuivre neuf personnes, dont le président de la Fédération tunisienne de natation et le chef de l'agence tunisienne antidopage, placés tous les deux en garde à vue.
Réagissant au développement de l’affaire, l'AMA a exprimé sa "préoccupation profonde" après l'annonce de l'arrestation de son représentant en Tunisie, réclamant sa "libération immédiate et inconditionnelle" et "l'abandon de toutes les accusations portées contre lui. »