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"Kilikis, la cité des hiboux" est porteur de significations temporelles et spatiales profondes. Son fil conducteur procède d'une approche cinématographique humaniste traitant des questions éminemment sociétales sans y apporter de réponses définitives dans le film, a souligné le cinéaste marocain dans une déclaration à la MAP.
"Le film, tout en retraçant des périodes de mon enfance passée au pied des contreforts du Haut-Atlas, se penche sur une période phare de l'histoire de la localité où se déroulent les séquences", a-t-il ajouté.
"Kilikis, la cité des hiboux" se veut un triomphe pour l'Homme, les relations humaines et la réconciliation avec soi et avec l'histoire, a poursuivi le réalisateur marocain.
Le film attache également un intérêt particulier à la femme à travers le personnage "Ouafae", professeure venue de la ville pour enseigner au douar en dépit de plusieurs obstacles et difficultés.
Durant 120 minutes, le long-métrage relate l'histoire de la population d'un douar du Haut-Atlas. Ses habitants se relayent pour assurer la garde d'une prison liée au douar par un pont de fortune.
Le 34ème Festival du cinéma méditerranéen d'Alexandrie a ouvert ses portes, mercredi soir, avec la participation de 85 films représentant 25 pays.
A cette occasion, quatre films marocains seront projetés dans le cadre de la section "Panorama marocain", à savoir "Walwalat al rouh" (Cri de l'âme) d'Abdelilah Jouhary, "Kilikis, la cité des hiboux" d'Azzelarabe Alaoui, "Le silence des papillons" de Hamid Basket et "Klam Essahra" (Les voix du désert) de Daoud Oulad Sayed.