Autres articles
-
Khadija Moussayer : Il existe environ 8.000 cas de maladies rares au Maroc, ce qui est un nombre considérable
-
Jellel Gasteli : J’utilise la photographie comme un outil pour exprimet et partager mes émotions
-
Bouthaïna Azami : Je ne sais jamais vraiment où l’écriture va m’entraîner lorsque j’écris les premiers mots
-
Intissar Haddiya : L’écriture est un processus mystérieux, parfois déroutant, mais toujours gratifiant
-
Mustapha Jmahri : J’ai toujours besoin de relire, d’être relu et de réécrire la même chose plusieurs fois
Khadija Assad fait partie des protagonistes de la nouvelle sitcom de 2M, «Dour Biha
Yachibani», qui sera diffusée pendant le Ramadan.
L’actrice, que nous avons
rencontrée sur les lieux du tournage de la sitcom, évoque ici sa nouvelle aventure
télévisuelle.
Libé : Comment trouvez-vous l’ambiance du tournage?
Khadija Assad : j’ai toujours vécu l’ambiance des tournages comme un moment de plaisir, parce que j’estime qu’une personne aimant ce travail ne peut pas demander mieux. Spécialement ici au studio Ali’ Productions où j’ai rencontré des gens que je n’ai pas vus depuis le tournage de «Lalla Fatema». Il y a une ambiance particulière et sans doute un peu plus de plaisir.
Le fait de jouer dans une série qui sera diffusée pendant le Ramadan, une période de grande audience, vous influence-t-il?
C’est sûr qu’on est un peu plus stressé, préoccupé par le texte et le timing qui est le Ramadan. Il faut faire attention à tout, aux mots, aux gestes et aux vêtements que l’on porte.
Cela dit, l’attention est toujours présente quelles que soient la période du tournage et la saison de diffusion du film. On se pose à tout moment des questions, on fait attention à ce qu’en pensera le public...
Justement, quel message aimeriez-vous que le public retienne de cette sitcom ? Qu’avez-vous perçu de particulier ?
Je ne vais pas vraiment me prononcer sur cette question vu que le tournage se poursuit et qu’il reste encore de petites séquences à tourner.
Toutefois, je dirais que les messages varient selon les épisodes et les sujets traités dans cette série. Chaque épisode est un petit cours métrage avec son sujet et ses messages, au-delà du fil conducteur de la sitcom. Chaque épisode a un petit grain d’étincelle. Mais l’essentiel est que les gens passent avec nous des moments agréables et qu’ils partagent ce plaisir qu’on est en train de vivre au studio.
Le fait d’être sollicitée pour des séries diffusées à cette période, est-ce une marque de confiance? Comment interprétez-vous ces sollicitations?
Je ressens un sentiment de responsabilité chaque fois qu’on me confie un travail aussi important en cette période. J’essaie donc d’être un peu plus vigilante et de redoubler d’efforts pour ne pas décevoir le public.
Car, s’il est une chose que j’ai apprise avec le temps, c’est qu’il est facile de construire une petite pyramide ou de ce faire un grand public. Par contre, le plus difficile est de garder ce lien avec les gens, de protéger cette sympathie entre vous et le public.
Avez-vous le sentiment d’être parvenue à conserver ce capital de sympathie?
J’essaie (rire). Je ne peux pas vous dire oui, ce serait très prétentieux. En tout cas, je fais tout mon possible pour garder ce lien sympathique avec le public.
Après une série à succès comme «Lalla Fatema», quelles sont les appréhensions ?
Jouer dans une série n’est pas de tout repos. C’est dur et il faut vraiment de l’endurance. En plus, le temps est limité, on doit se concentrer sur le texte, réviser et corriger nos rôles. Bref, c’est toujours une grande responsabilité.
Lorsque vous sortez d’un travail qui n’a pas rencontré le succès souhaité, il est peut-être plus facile de rentrer dans un autre projet en se disant : «Si on fait un petit effort, ça va marcher».
Mais le plus dur, c’est quand on est passé par un travail qui a déjà marqué les téléspectateurs et qu’on va entrer dans un autre où il va falloir redoubler d’efforts pour au moins s’élever au niveau du premier.
Y a-t-il des personnages que vous rêvez d’endosser un jour ?
Je ne sais pas si j’aurais vraiment le temps et la vie pour jouer les nombreux personnages que j’aimerais incarner.
J’ai tout de même joué plusieurs personnages au théâtre comme à l’écran. Bien sûr qu’il y en a d’autres que je rêve jouer un jour. Tout dépend du projet et du personnage qu’il amènera.
Dans tous les cas, une fois que le personnage est connu, je m’emploierai à m’adapter, à créer le lien et la note qui est demandée pour qu’il soit en harmonie avec ma personnalité.
Quels sont vos projets d’avenir ?
Avant «Dour Biha Yachibani», un projet qui nous tient à cœur, on a fait le feuilleton de «Bled bladi» sur le caftan marocain. Juste avant, on a lancé le film cinématographique d’Aziz Saâdallah, «Le temps du terrorisme».
Actuellement, je suis dans l’écriture du scénario d’un film de cinéma.
Aziz Saâdallah et moi avions d’autres projets, mais nous avons choisi d’avancer lentement mais sûrement.
Yachibani», qui sera diffusée pendant le Ramadan.
L’actrice, que nous avons
rencontrée sur les lieux du tournage de la sitcom, évoque ici sa nouvelle aventure
télévisuelle.
Libé : Comment trouvez-vous l’ambiance du tournage?
Khadija Assad : j’ai toujours vécu l’ambiance des tournages comme un moment de plaisir, parce que j’estime qu’une personne aimant ce travail ne peut pas demander mieux. Spécialement ici au studio Ali’ Productions où j’ai rencontré des gens que je n’ai pas vus depuis le tournage de «Lalla Fatema». Il y a une ambiance particulière et sans doute un peu plus de plaisir.
Le fait de jouer dans une série qui sera diffusée pendant le Ramadan, une période de grande audience, vous influence-t-il?
C’est sûr qu’on est un peu plus stressé, préoccupé par le texte et le timing qui est le Ramadan. Il faut faire attention à tout, aux mots, aux gestes et aux vêtements que l’on porte.
Cela dit, l’attention est toujours présente quelles que soient la période du tournage et la saison de diffusion du film. On se pose à tout moment des questions, on fait attention à ce qu’en pensera le public...
Justement, quel message aimeriez-vous que le public retienne de cette sitcom ? Qu’avez-vous perçu de particulier ?
Je ne vais pas vraiment me prononcer sur cette question vu que le tournage se poursuit et qu’il reste encore de petites séquences à tourner.
Toutefois, je dirais que les messages varient selon les épisodes et les sujets traités dans cette série. Chaque épisode est un petit cours métrage avec son sujet et ses messages, au-delà du fil conducteur de la sitcom. Chaque épisode a un petit grain d’étincelle. Mais l’essentiel est que les gens passent avec nous des moments agréables et qu’ils partagent ce plaisir qu’on est en train de vivre au studio.
Le fait d’être sollicitée pour des séries diffusées à cette période, est-ce une marque de confiance? Comment interprétez-vous ces sollicitations?
Je ressens un sentiment de responsabilité chaque fois qu’on me confie un travail aussi important en cette période. J’essaie donc d’être un peu plus vigilante et de redoubler d’efforts pour ne pas décevoir le public.
Car, s’il est une chose que j’ai apprise avec le temps, c’est qu’il est facile de construire une petite pyramide ou de ce faire un grand public. Par contre, le plus difficile est de garder ce lien avec les gens, de protéger cette sympathie entre vous et le public.
Avez-vous le sentiment d’être parvenue à conserver ce capital de sympathie?
J’essaie (rire). Je ne peux pas vous dire oui, ce serait très prétentieux. En tout cas, je fais tout mon possible pour garder ce lien sympathique avec le public.
Après une série à succès comme «Lalla Fatema», quelles sont les appréhensions ?
Jouer dans une série n’est pas de tout repos. C’est dur et il faut vraiment de l’endurance. En plus, le temps est limité, on doit se concentrer sur le texte, réviser et corriger nos rôles. Bref, c’est toujours une grande responsabilité.
Lorsque vous sortez d’un travail qui n’a pas rencontré le succès souhaité, il est peut-être plus facile de rentrer dans un autre projet en se disant : «Si on fait un petit effort, ça va marcher».
Mais le plus dur, c’est quand on est passé par un travail qui a déjà marqué les téléspectateurs et qu’on va entrer dans un autre où il va falloir redoubler d’efforts pour au moins s’élever au niveau du premier.
Y a-t-il des personnages que vous rêvez d’endosser un jour ?
Je ne sais pas si j’aurais vraiment le temps et la vie pour jouer les nombreux personnages que j’aimerais incarner.
J’ai tout de même joué plusieurs personnages au théâtre comme à l’écran. Bien sûr qu’il y en a d’autres que je rêve jouer un jour. Tout dépend du projet et du personnage qu’il amènera.
Dans tous les cas, une fois que le personnage est connu, je m’emploierai à m’adapter, à créer le lien et la note qui est demandée pour qu’il soit en harmonie avec ma personnalité.
Quels sont vos projets d’avenir ?
Avant «Dour Biha Yachibani», un projet qui nous tient à cœur, on a fait le feuilleton de «Bled bladi» sur le caftan marocain. Juste avant, on a lancé le film cinématographique d’Aziz Saâdallah, «Le temps du terrorisme».
Actuellement, je suis dans l’écriture du scénario d’un film de cinéma.
Aziz Saâdallah et moi avions d’autres projets, mais nous avons choisi d’avancer lentement mais sûrement.