Lors de chacune de ses sorties médiatiques, le coach espagnol Juan Carlos Garrido se fait un plaisir d’encenser le football marocain. Dans une déclaration au quotidien madrilène AS, il a considéré que le standing du Wydad de Casablanca au Maroc se perçoit comme le statut du Real Madrid ou du FC.Barcelone en Espagne.
Partant de cette comparaison, il a tenu à indiquer qu’il lui était impossible de décliner la proposition des Rouge et Blanc. Estimant que coacher un club de la trempe du WAC, avec ses titres et son histoire, n’est pas donné à tout le monde.
Et d’ajouter qu’il a refusé d’autres offres pour opter pour le WAC, un club qui joue tout le temps les premiers rôles sur tous les plans. Pour Garrido qui avait déjà goûté aux délices de la consécration africaine que ce soit avec Al Ahly d’Egypte (2014) ou le Raja (2018), c’est un nouveau challenge qui se dessine et il compte fort bien aller jusqu’au bout, nourrissant l’espoir légitime de remporter avec les Rouges la Ligue des champions une fois la page de la pandémie du coronavirus tournée.
A ce propos, Juan Carlos Garrido a fait savoir au quotidien espagnol qu’il a tenu à rester à Casablanca afin d’être près de ses joueurs, affirmant sur une note optimiste que le retour à la vie normale ne saurait tarder.
D’ailleurs au sujet du confinement, Juan Carlos Garrido avait déclaré à l’agence de presse espagnole EFE que « le Maroc a pris l’avantage depuis le début en adoptant des mesures bien avant que le coronavirus ne se propage dans le pays », qualifiant ces dispositions d’«excellentes».
Comme précité, l’entraîneur espagnol n’a pas cessé de tarir d’éloges le football marocain dont le développement est le fruit d’un travail de fond. Précisant, à cet effet, lors d’une conférence en ligne organisée dernièrement par l’instance qui gère le football dans la province de Valence que l’essor que connaît le football national est dû à deux facteurs essentiels, à savoir une infrastructure de premier ordre et un grand engouement des spectateurs.
Juan Carlos Garrido est le troisième coach du WAC depuis l’entame de l’actuelle saison, après le Serbe Zoran Manojlovic et le Français Sébastien De Sabre, sans omettre Abdelilah Saber qui avait assuré avec succès l’intérim.
A rappeler que Juan Carlos Garrido a forgé sa carrière d’entraîneur en s’occupant durant huit saisons de l’équipe B de Villarreal de 2002 à 2010 avant d’atterrir en équipe première de ce club lors de la saison 2010-2011. Il a par la suite tenté sa chance du côté du championnat belge en rejoignant le FC Bruges (2012-2013) avant de regagner la Liga et plus exactement le Betis Séville (2013-2014).
Après l’Espagne, il débarque en Egypte pour prendre les commandes d’Al Ahly (2014-2015), avant de rejoindre Al Itifak d’Arabie Saoudite (2016-2017), le Raja de Casablanca (2017-2019), Al Aïn des Emirats Arabes Unis (2019) et enfin l’Etoile du Sahel de Tunisie.
Partant de cette comparaison, il a tenu à indiquer qu’il lui était impossible de décliner la proposition des Rouge et Blanc. Estimant que coacher un club de la trempe du WAC, avec ses titres et son histoire, n’est pas donné à tout le monde.
Et d’ajouter qu’il a refusé d’autres offres pour opter pour le WAC, un club qui joue tout le temps les premiers rôles sur tous les plans. Pour Garrido qui avait déjà goûté aux délices de la consécration africaine que ce soit avec Al Ahly d’Egypte (2014) ou le Raja (2018), c’est un nouveau challenge qui se dessine et il compte fort bien aller jusqu’au bout, nourrissant l’espoir légitime de remporter avec les Rouges la Ligue des champions une fois la page de la pandémie du coronavirus tournée.
A ce propos, Juan Carlos Garrido a fait savoir au quotidien espagnol qu’il a tenu à rester à Casablanca afin d’être près de ses joueurs, affirmant sur une note optimiste que le retour à la vie normale ne saurait tarder.
D’ailleurs au sujet du confinement, Juan Carlos Garrido avait déclaré à l’agence de presse espagnole EFE que « le Maroc a pris l’avantage depuis le début en adoptant des mesures bien avant que le coronavirus ne se propage dans le pays », qualifiant ces dispositions d’«excellentes».
Comme précité, l’entraîneur espagnol n’a pas cessé de tarir d’éloges le football marocain dont le développement est le fruit d’un travail de fond. Précisant, à cet effet, lors d’une conférence en ligne organisée dernièrement par l’instance qui gère le football dans la province de Valence que l’essor que connaît le football national est dû à deux facteurs essentiels, à savoir une infrastructure de premier ordre et un grand engouement des spectateurs.
Juan Carlos Garrido est le troisième coach du WAC depuis l’entame de l’actuelle saison, après le Serbe Zoran Manojlovic et le Français Sébastien De Sabre, sans omettre Abdelilah Saber qui avait assuré avec succès l’intérim.
A rappeler que Juan Carlos Garrido a forgé sa carrière d’entraîneur en s’occupant durant huit saisons de l’équipe B de Villarreal de 2002 à 2010 avant d’atterrir en équipe première de ce club lors de la saison 2010-2011. Il a par la suite tenté sa chance du côté du championnat belge en rejoignant le FC Bruges (2012-2013) avant de regagner la Liga et plus exactement le Betis Séville (2013-2014).
Après l’Espagne, il débarque en Egypte pour prendre les commandes d’Al Ahly (2014-2015), avant de rejoindre Al Itifak d’Arabie Saoudite (2016-2017), le Raja de Casablanca (2017-2019), Al Aïn des Emirats Arabes Unis (2019) et enfin l’Etoile du Sahel de Tunisie.
Réunion de la FRMF
Le comité directeur de la FRMF devrait tenir incessamment une réunion pour discuter du sort du championnat national de football, interrompu à cause de la pandémie du nouveau coronavirus.
En tout cas, une reprise de la Botola serait une éventualité éloignée et tout dépendra de ce que vont décider les autorités marocaines avant le 20 mai, date qui devrait coïncider avec la fin du confinement sauf s’il y a prolongement.
En tout cas, une reprise de la Botola serait une éventualité éloignée et tout dépendra de ce que vont décider les autorités marocaines avant le 20 mai, date qui devrait coïncider avec la fin du confinement sauf s’il y a prolongement.